La vie est un continuum de générations. L'existence de chaque génération est temporaire, limitée dans le temps, mais l'existence de la plus grande vie dont la génération est une partie passagère continue à travers les générations successives, chacune suivant et remplaçant la précédente. Chaque génération fait partie de la même vie, et sa tâche primordiale est de continuer cette vie par la création fructueuse de la prochaine génération, qui la remplacera et continuera la vie qu'elles ont en commun. Les différentes branches de la vie les espèces et les races sont elles-mêmes des continuums séparés et distincts, composés non seulement d'individus génétiquement similaires dans la génération actuellement existante, mais aussi d'un nombre potentiellement illimité de générations, chacune génétiquement reliée à ses ancêtres et descendants.
Les continuums humains sont culturels aussi bien que génétiques.
Chaque génération transmet à la fois sa culture
et ses gènes à ses successeurs. Normalement, un
continuum racial inclut des transmissions culturelles aussi bien
que génétiques. C'est de leur continuum racial,
auquel ils appartiennent et dont ils font partie, que les humains
reçoivent normalement leur identité, leur sens de
soi et de leur utilité, et à l'intérieur
duquel ils se définissent et définissent leur existence.
Dans le continuum racial, les générations vont et
viennent, et évoluent ou changent graduellement avec le
temps, mais la vie qu'elles incarnent et partagent en commun continue
à travers le continuum de ses générations.
La continuation de l'existence d'un continuum ne peut pas être
considérée comme allant de soi. Un continuum peut
cesser d'exister, peut être interrompu, peut cesser de continuer,
en dépit des implications de son nom, si une seule des
générations successives ne parvient pas à
continuer l'héritage qui lui a été légué
par ses générations ancestrales. Cela s'applique
à tout type de continuum, qu'il soit culturel ou génétique,
de n'importe quelle espèce ou race, ou même de la
vie elle-même dans son ensemble. Mais seuls les continuums
humains peuvent être interrompus par choix. Seules les races
humaines ont la liberté de pouvoir choisir la fin de leur
continuum, le rejet ou la répudiation de leur héritage
culturel ou génétique, la destruction ou l'extinction
de leur type racial, la non-existence de la vie qu'elles incarnent.
Le choix de la non-existence raciale plutôt que l'existence,
de la mort raciale plutôt que la vie raciale, de la discontinuation
raciale plutôt que la continuation, le rejet ou la répudiation
ou le fait d'être prêt à le rejeter et
à le répudier du continuum racial dont on
fait partie et auquel on appartient, est du nihilisme racial.
Le terme nihilisme est dérivé du latin nihilum,
qui signifie « rien ». Le nihilisme est littéralement
du « rien-isme ». Il y a diverses formes de nihilisme,
chacune niant l'existence ou promouvant la non-existence
au moyen d'une réduction à néant d'un
continuum qui a existé à travers de nombreuses générations.
Le nihilisme littéraire et artistique rejette et répudie
les distinctions ou les standards de mérite ou de valeur
artistiques. Le nihilisme moral est le rejet et la répudiation
des distinctions, normes et valeurs morales. Le nihilisme racial
est le rejet et la répudiation de toutes les distinctions
et valeurs raciales. Il nie l'existence raciale ou recherche son
annihilation littéralement, sa réduction
à néant ou à la non-existence.
La motivation idéologique du nihilisme est souvent un égalitarisme
radical ou extrême, qui cherche à abolir toutes les
inégalités en abolissant toutes les distinctions,
différences et diversités, ainsi que toutes les
valeurs et normes. Mais quelle que soit sa motivation ou sa forme
qu'elle soit morale, culturelle ou raciale , le nihilisme
est une idéologie de négation et de destruction.
Il nie souvent l'existence même du continuum qu'il répudie
et cherche à détruire, refusant même d'admettre
que l'objet de son intention destructrice existe. De même
que le nihilisme moral affirme ordinairement que la moralité
n'existe pas, le nihilisme racial nie souvent l'existence des
races, prétendant qu'il n'existe rien à préserver
ou à conserver. C'est du déconstructionnisme
racial, l'annihilation idéologique de la race ou la réduction
idéologique de la race à néant, définissant
la race comme non-existante en « déconstruisant »
ses termes ou classifications. [1]
Le nihilisme racial est l'opposé ou l'antithèse
du préservationnisme et du conservationnisme racial. Il
est opposé à la préservation raciale (la
continuation de la vie raciale), et aux conditions requises pour
la préservation (séparation et isolation reproductive).
En termes idéologiques, le nihilisme racial peut être
défini comme tout système d'idées, de croyances
et de valeurs qui s'oppose à la préservation et
à la conservation raciale, qui soutient ou promeut les
causes de destruction ou de dégénérescence
raciale, ou qui nie les droits raciaux, en particulier le droit
à la vie raciale et les conditions de séparation
requises pour la continuation de la vie raciale (préservation
raciale).
Une condition essentielle du nihilisme est qu'il rejette et répudie
la continuation de l'existence du continuum dont le nihiliste
fait partie et auquel le nihiliste appartient. Un nihiliste racial
doit inclure sa propre race dans son rejet de la continuation
de l'existence raciale. Il doit rejeter et répudier la
continuation et la préservation de son propre continuum
racial, de sa propre lignée et de son propre héritage
ancestraux. Ceux qui rejettent la continuation ou la préservation
de leur propre race sont des nihilistes raciaux, qu'ils s'opposent
ou non à la continuation des autres races. Ainsi, certains
nihilistes raciaux rejettent seulement la continuation ou la préservation
de leur propre race, tout en approuvant la continuation des autres
races. D'autres nihilistes raciaux rejettent la continuation de
toutes les races, de toutes les différences raciales et
de toute diversité raciale, recherchant un nivellement
égalitaire de toute l'humanité dans une seule race
uniforme, en accord avec le but ou le rêve de l'idéologie
du « One World ».
Le nihilisme racial, dans son rejet des valeurs, de la préoccupation
et de l'amour raciaux, et dans son but de nivellement racial,
soutient qu'il est erroné de valoriser sa propre race,
d'en prendre soin et de l'aimer, et encore plus erroné
de la valoriser, d'en prendre soin et de l'aimer plus que les
autres, ou de lui accorder une préférence ou un
soin particulier. Ceci est contraire à la tendance naturelle
de la vie et de la nature humaine en particulier qui
est de valoriser sa propre vie et sa propre branche de vie plus
que d'autres, de leur accorder des soins, une attention, un amour
et une dévotion particuliers. Mais le nihilisme racial
demande l'élimination égalitaire de toutes les particularités
et distinctions raciales dans les préférences et
les préoccupations, et affirme qu'il est erroné
de valoriser sa propre race, d'en prendre soin et de l'aimer à
un degré quelconque, même égal à celui
appliqué à d'autres races, si cette valorisation,
cette préoccupation et cet amour incluent un désir
de préservation et de continuation de sa propre race comme
type particulier distinct des autres.
Le nihilisme racial peut être passif aussi bien qu'actif,
être caractérisé par des actes d'omission
aussi bien que de commission, puisque la préservation ou
la continuation d'un continuum requiert souvent des actions positives,
consistantes et affirmatrices. Le manque de soin ou d'intérêt
racial, le manque d'affirmation des droits et des valeurs raciaux,
et l'acceptation des causes de destruction raciale, sont tous
des exemples de nihilisme racial par défaut, le nihilisme
de l'indifférence. Ce type de nihilisme racial un
simple manque d'intérêt, de soin et d'attention,
souvent sans intention consciente est de loin la forme la
plus commune, et aussi la plus insidieuse. Aucune parole n'exprime
mieux l'essence du nihilisme que la question rhétorique
: « quelle importance ? ». C'est une expression de
négation et de rejet des soins, et même de mépris
pour les soins. Les fondements du nihilisme ne sont pas tant une
destructivité militante et active qu'une résignation
et une passivité beaucoup plus pernicieuses qui rejettent
le fait de prendre soin et d'aimer ces choses et valeurs
incluant la civilisation, la culture, la liberté, la moralité
et la race qui requièrent un effort et un engagement
pour être soutenues, maintenues et préservées.
Quand le nihilisme rejette ou nie la valeur ou l'importance de
quelque chose, ou même nie son existence, il approuve son
sacrifice ou sa destruction, et blâme et condamne comme
immoraux ceux qui prennent soin de ce qui est menacé et
qui cherchent à le soutenir et à le préserver.
Dans des conditions de séparation géographique et
d'isolation reproductive, comme une diversité raciale entretenue
et préservée pendant des milliers de générations,
une indifférence générale aux préoccupations
raciales posait peu de dangers à la préservation
raciale, mais dans des conditions multiraciales, comme celles
qui deviennent toujours plus communes dans le monde moderne, l'indifférence
raciale a émergé comme une menace majeure envers
la continuation des différents continuums raciaux humains.
Si la diversité raciale doit être préservée
dans le monde moderne, où les barrières préservatrices
de la distance géographique ont été surmontées
par les avancées dans les transports, le nihilisme racial
même dans sa forme passive, acceptante, indifférente
et inconsciente est un luxe que l'humanité ne peut
plus se permettre.
Les deux causes de destruction raciale sont le mélange
et le remplacement. Le mélange cause la destruction raciale
par dilution ou submersion génétique, le remplacement
implique qu'une race est dépossédée
ou « poussée dehors » par d'autres qui
prennent sa place. Le multiracialisme est l'idéologie,
ou le système de croyances et de valeurs, qui soutient
les conditions multiraciales et les processus résultants
et racialement destructeurs de mélange et de remplacement.
Le nihilisme racial est l'idéologie sous-jacente, l'attitude
psychologique ou la vision de l'existence qui fournit le fondement
du multiracialisme en niant et en rejetant les droits et valeurs
raciaux, en particulier le droit d'une race à la vie, à
l'indépendance, et à la condition de séparation
requise pour les deux.
Dans la chaîne de causalité, le nihilisme racial
cause ou soutient le multiracialisme, qui cause ou promeut les
conditions multiraciales, qui causent ou rendent possibles
le mélange et le remplacement raciaux, qui causent
la destruction raciale. Chacun conduit à l'autre dans une
progression de causes et d'effets. Chacun requiert aussi l'autre
comme préalable à son existence, chaque effet requérant
sa cause. Ainsi la destruction raciale requiert le mélange
ou le remplacement raciaux, qui requièrent les conditions
multiraciales, qui requièrent la domination effective du
multiracialisme, qui requiert les croyances, attitudes et valeurs
nihilistes raciales qu'elles soient passives ou actives,
conscientes ou inconscientes, voulues ou involontaires, en connaissance
de cause ou pas. Il s'ensuit que la destruction raciale par mélange
et remplacement est une conséquence effectivement inévitable
d'une société multiraciale, mais est efficacement
empêchée dans une société monoraciale.
Les raisons pour lesquelles certains individus se croisent avec
des membres de races différentes sont nombreuses et variées,
mais surviennent seulement dans des conditions multiraciales (où
il y a contact entre races différentes). Elles ne surviennent
pas dans des conditions monoraciales de séparation raciale
et d'isolation reproductive géographiques, les conditions
dans lesquelles les différentes races ont été
créées et préservées jusqu'aux temps
modernes.
Une « terre désolée » est un pays, une
société ou une situation où la vie est privée
des conditions dont elle a besoin pour exister. Une société
multiraciale est une terre désolée raciale, où
la vie raciale ne peut pas être continuée, où
les forces qui causent la mort, la destruction et l'extinction
raciales dominent celles qui promeuvent la vie, la préservation
et la continuation raciales. Au Moyen Age, le terme « terre
désolée » était utilisé pour
se référer à une idéologie religieuse
orthodoxe qui niait et empêchait la liberté, la singularité,
la croissance et le développement individuels, et promouvait
la submersion de l'individu dans la masse collective. La terre
désolée de l'Epoque Moderne est la foi ou dogme
séculier du multiracialisme l'idéologie inter-racialiste
et internationaliste de l'universalisme ou de l'« Unité
» qui nie et empêche la liberté raciale
(indépendance), la singularité (variété
et diversité), la croissance et le développement
(évolution divergente), et la continuation de la vie raciale,
et promeut la submersion des races dans un « melting pot
» multiracial, remplaçant le processus racialement
créateur d'évolution divergente par le processus
racialement destructeur de dégénérescence
convergente. [2]
Le but d'Unité d'« un seul monde » et d'«
Une seule race » cherche à éliminer la diversité
humaine par un processus de fusion ou de convergence de tous en
un, remplaçant la grande variété des types
par un type uniforme. Il commença avec le concept d'«
une seule religion », une religion universelle pour toute
l'humanité qui remplacerait toutes les autres religions.
Cela établit le modèle pour de nombreuses croyances
universalistes séculières qui tentèrent aussi
de s'imposer à toute l'humanité. Le processus de
travail, de prosélytisme et de conversion missionnaire
idéologique, à la fois religieux et séculier,
continue sur une vaste échelle à ce jour, promu
par le but universaliste de l'Unité, qui est cohérent
avec l'idéologie multiracialiste et nihiliste raciale.
La société multiraciale moderne est une terre désolée
raciale, et son idéologie orthodoxe est le nihilisme racial,
promu et imposé par les autorités ou clergés
séculiers aussi bien que religieux. Toutes les grandes
institutions culturelles, politiques et sociales s'y conforment.
Toute déviance vis-à-vis de ses doctrines, en particulier
toute manifestation de préservationnisme racial, est rejetée
dans une position marginale en-dehors du « courant principal
», où elle se voit refuser toute considération
sérieuse en tant qu'alternative.
Le nihilisme racial recherche la non-existence raciale, et il
tend à nier ou minimiser la valeur, ou même l'existence,
de l'entité dont il désire la non-existence. Etant
donné son intérêt à nier, ignorer ou
minimiser la valeur et l'importance de l'existence raciale
parfois au point de nier que les races existent réellement
afin de justifier sa négation du droit racial à
l'existence, le nihilisme racial est par nature hostile à
toute affirmation ou reconnaissance de la réalité
de l'existence raciale. Etant donné le statut dominant
du nihilisme racial dans les médias de communications de
masse et les institutions éducatives, une situation existe
où la connaissance et l'appréciation raciales sont
découragées, et où toute étude ou
discussion des questions raciales des différences
et de la diversité raciales, ou des conditions requises
pour la continuation de l'existence raciale est considérée
comme un sujet interdit, et effectivement réprimé,
banni ou censuré. Le nihilisme racial, dans sa négation
et son rejet de la valeur et de l'importance de la race, de la
diversité raciale et de l'existence raciale, a fait de
la race un « mauvais » mot, tabou pour tous sauf pour
son clergé, qui est chargé de son usage ou de son
incantation uniquement dans le but de promouvoir le programme
nihiliste racial de destruction raciale.
Le nihilisme racial a créé une ambiance d'irréalité
concernant les questions raciales, où les sujets d'évolution,
de variation, de diversité, de différences, de singularité
raciales et de continuation de l'existence raciale sont confrontés
à l'esquive, à la dissimulation ou à la négation,
où il est considéré comme moralement approprié
de prétendre que les races et les différences raciales
n'existent pas, et où ceux qui avouent, reconnaissent et
affirment ces différences et particulièrement
ceux qui les célèbrent et affirment leur valeur
et leur importance sont considérés comme immoraux.
Dans ce climat idéologique, la diversité et les
différences raciales humaines la création
ou l'uvre de la nature à travers des milliers de générations
d'évolution divergente sont niées, banalisées
ou dépréciés comme étant sans importance
et indignes d'êtres préservées, ou sont réellement
considérées comme immorales et comme quelque chose
qui devrait être détruit. Il s'ensuit logiquement
que les droits raciaux sont aussi niés ou dépréciés,
et que leur affirmation est considérée comme immorale.
Pour le nihiliste racial, les différences raciales sont
quelque chose de mauvais, et la diversité, la variation
et la singularité raciales sont des choses qui doivent
être niées, dépréciées et détruites
plutôt qu'affirmées, aimées et préservées.
Le nihiliste racial recherche l'égalitarisme de la similitude
et de l'unicité, et veut que toute l'humanité soit
la même, et que la riche diversité des types raciaux
humains soit réduite à un seul type uniforme. Le
nihilisme racial est de l'égalitarisme racial dans sa forme
la plus extrême, éliminant toutes les inégalités
raciales par l'élimination de toute la diversité
raciale et de toutes les différences raciales.
Les nihilistes raciaux extrêmes nient l'existence des races
tout en travaillant à détruire et à défaire
l'existence raciale. Ils croient qu'il est immoral de simplement
admettre que des races différentes existent, et il semblerait
que certains « vrais croyants » croient réellement
que les races n'existent pas, puisque leurs croyances éthiques
(que l'existence de races différentes est immorale) et
valeurs éthiques (préférence pour un monde
sans diversité raciale) déterminent leurs croyances
factuelles. D'autres préfèrent la dissimulation,
recherchant la fin de la diversité raciale et sachant bien
que la négation de l'existence raciale promeut la destruction
réelle de cette existence. Les droits raciaux ne peuvent
pas être logiquement reconnus ou défendus si l'existence
des races n'est pas reconnue. Sans la croyance factuelle dans
l'existence des races, il n'y a pas de base pour la croyance éthique
dans les droits raciaux.
La croyance factuelle qu'il n'y a pas de différences raciales,
ou qu'elles sont banales et sans importance, ou que des races
différentes n'existent pas réellement, est souvent
affirmée pour soutenir la croyance éthique que les
races n'ont pas droit à la vie, à la liberté
et à l'indépendance, et pour justifier la négation
et la violation de ces droits. Si une race n'existe pas, elle
n'a pas de droits qui peuvent être violés. En niant
l'existence raciale, le nihilisme racial peut justifier son opposition
aux droits raciaux et adopter une posture morale tout en promouvant
la destruction raciale. Mais pour être logiquement cohérente,
la négation de l'existence des différentes races
humaines requiert non seulement la négation de l'existence
de populations humaines génétiquement distinctes,
mais aussi la négation effective du processus créatif
d'évolution divergente, et par implication la négation
de l'existence de toutes les formes de vie différentes.
Si l'une est une illusion, alors toutes sont des illusions, et
à ce point le nihilisme racial devient du gnosticisme racial.
Le gnosticisme est la croyance que la vie et l'existence physiques
ne sont pas réelles, que tout dans le monde matériel
est une illusion, sans signification ou valeur. C'est une forme
de nihilisme métaphysique. Les gnostiques minimisent ou
nient l'importance en fait la réalité ou l'existence
de tout ce qui est physique ou matériel, affirmant
que la seule vraie réalité est immatérielle
ou spirituelle. Ils cherchent à échapper à
la vie et à l'existence physique, ou à y mettre
fin. Le mot « gnosticisme » est dérivé
du mot grec signifiant connaissance, et les gnostiques d'origine
« ceux qui ont la connaissance » étaient
les initiés des religions grecques des Mystères.
C'est seulement dans la période hellénistique (les
trois siècles précédant l'ère chrétienne)
que le gnosticisme devint associé à une incrédulité
dans la réalité de l'existence physique. Ce développement
peut être attribué en partie à l'influence
des missionnaires bouddhistes indiens, qui apportèrent
leurs idées au monde méditerranéen durant
l'ère hellénistique [3]. Pendant l'ère chrétienne,
diverses sectes gnostiques se développèrent à
l'intérieur du christianisme, des sectes qui croyaient
en un Christ incorporel ou illusoire qui n'aurait jamais existé
comme homme réel ou physique.
Puisque le gnosticisme ne croit pas en la réalité
physique, mais la considère comme une illusion, il ne croit
pas non plus en la réalité de différences
ou distinctions quelconques dans le monde matériel. Il
croit que tous les gens et peuples, tous les individus et races,
sont les mêmes, interchangeables et impersonnels, qu'aucun
n'est unique, différent ou spécial d'une manière
significative quelconque. Il s'ensuit que le gnosticisme est complètement
égalitaire, considérant que tout est égal
et semblable, sans différences ou distinctions importantes.
Le gnostique est particulièrement égalitaire concernant
l'amour, croyant qu'il est immoral d'aimer une personne ou un
peuple plus qu'un autre, mais que tous les gens et peuples devraient
être également aimés et appréciés.
Cette forme égalitaire d'amour était appelée
agape en grec, et elle était appliquée également
à tous, d'une manière impersonnelle, sans différenciation,
distinction ou discrimination [4]. L'amour personnel et l'amour
de sa race ou peuple, qui différencient, discriminent et
font des distinctions, qui valorisent une personne ou un peuple
particulier plus que d'autres, étaient tous deux condamnés.
Les gnostiques ne pratiquaient pas d'exclusivité, de loyauté
ou de fidélité en amour, recommandant l'amour égal
et non-discriminatoire envers tous, devant être accordé
également à tous, sans préférence
ou émotions, loyautés ou attachements particuliers.
Les gnostiques n'étaient pas plus loyaux ou attachés
à leur race, peuple ou nation qu'ils ne l'étaient
à leurs partenaires sexuels, se présentant eux-mêmes
comme des kosmopolites, des cosmopolites, ou citoyens du
monde.
Le gnosticisme, dans sa négation et son rejet de la réalité
et de la valeur de la vie et de l'existence, est une quête
de la non-existence, recherchant la fin de l'existence, la destruction
du continuum des générations. Ainsi beaucoup des
sectes gnostiques, païennes tout comme chrétiennes,
condamnaient la procréation comme étant une continuation
de la vie et de l'existence à laquelle ils cherchaient
à mettre fin. Le gnosticisme racial, la croyance que la
race n'est pas réelle, mais une illusion sans signification,
importance ou valeur, recherche aussi la fin de l'existence raciale,
la destruction du continuum racial, et s'oppose à la procréation
ou à tout ce qui tend à continuer ou à préserver
la vie raciale.
Le monde occidental moderne a connu une résurgence de pensée
gnostique, à nouveau comme à l'époque
antique largement influencée par la pensée
hindoue et bouddhiste. Une grande partie de la philosophie du
dénommé mouvement « New Age », une continuation
de la « contre-culture » qui commença au milieu
des années 60, est directement attribuable à l'influence
hindoue et bouddhiste, beaucoup de ses membres proclamant eux-mêmes
être des adeptes de divers « gourous » asiatiques.
Le fort courant de gnosticisme qui traverse ce mouvement ne devrait
donc pas surprendre [5]. L'« amour » qui était
le leitmotiv de la contre-culture était l'amour
agapique, l'amour égalitaire et superficiel qui est caractéristique
du gnosticisme ; universel, impersonnel et non-discriminatoire,
vague, sans aucune intensité particulière d'émotion
ou de sentiment pour une personne, peuple ou chose particulière.
Dans les relations sexuelles, cet amour superficiel (agape) était
nommé par euphémisme « amour libre ».
Dans les questions politiques et sociales, il s'exprimait sous
la forme de l'universalisme et du but cosmopolite de l'Unicité,
« Un Monde, une Race, un Peuple ».
Quelque peu similaire au gnosticisme, et dans une certaine mesure
son ancêtre ou son signe avant-coureur, et encore plus envahissant
par son influence, est le dualisme, la croyance factuelle
qu'il existe deux réalités ou « plans »
de l'existence, l'un matériel ou physique, et l'autre immatériel
ou spirituel. Dans une tradition datant au moins de Platon, il
inclut habituellement la croyance que la dimension physique ou
plan physique est inférieure au spirituel. Mais le dualisme,
bien que tenant l'existence physique comme inférieure à
l'existence spirituelle, diffère du gnosticisme en ce qu'il
reconnaît la réalité de l'existence physique.
Les valeurs dualistes sont évidentes dès que la
valeur ou l'importance du monde matériel et de l'existence
naturelle et biophysique est dépréciée comme
étant inférieure à un supposé «
plan supérieur » d'existence immatérielle,
spirituelle ou surnaturelle. Puisque l'existence ou la vie biologique
fait partie de l'existence matérielle, elle est aussi
et tout ce qui est associée à elle , par extension,
considérée comme inférieure. D'une manière
générale, le dualisme considère la race comme
un phénomène purement physique ou biologique, sans
aucune existence sur le plan spirituel. Alors que le gnosticisme
racial nie l'existence ou la réalité physiques de
la race, le dualisme reconnaît son existence physique mais
nie son existence spirituelle. Les effets de ces croyances factuelles
sur les croyances éthiques sont très similaires,
avec le résultat que toutes deux nient la valeur ou l'importance
de la race.
L'influence du dualisme sur la pensée religieuse aussi
bien que séculière a été suffisante
pour créer un parti-pris ou préjugé intellectuel
et éthique omniprésent contre le physique ou le
matériel, et par extension contre l'existence biologique,
les gènes et la race. Ce parti-pris peut être vu
dans la croyance que les fonctions supérieures de l'esprit
appartiennent à un plan spirituel de l'existence non-relié
au plan biologique-matériel (la dichotomie esprit-corps),
et dans l'opposition résultante à l'idée
que l'esprit et ses traits pourraient être déterminés
ou influencés par quelque chose de physique comme les gènes,
ou créés par quelque chose de physique comme l'évolution
biologique. Le dualisme sépare l'existence de l'esprit
du corps physique et du cerveau, niant la base matérielle-biologique
de son existence. Il rejette le rôle des gènes, une
structure physique-matérielle, et de l'évolution,
un processus de changement génétique physique-matériel-biologique,
dans la création et la détermination de traits mentaux
comme l'intelligence, la personnalité et l'identité.
Puisque le dualisme voit la race comme un phénomène
physique-matériel-biologique, les traits et caractéristiques,
différences, diversité et variation raciaux existant
seulement sur le « plan » matériel ou physique,
les préoccupations raciales ne sont pas considérées
comme valables ou importantes, mais comme inférieures aux
considérations spirituelles ou non-matérielles.
La croyance dualiste en plus d'une seule réalité
n'est pas forcément nuisible pour la réalité
matérielle. Ce n'est pas non plus forcément nuisible
pour la réalité matérielle de la juger inférieure.
Mais il est nuisible pour la réalité matérielle
de la juger inférieure au point de la juger comme étant
sans valeur, sens, utilité ou importance, ou même
comme étant une illusion qui n'existe pas réellement
la croyance qui est l'essence du gnosticisme. Il est nuisible
pour la réalité matérielle de considérer
tout ce qui a une base matérielle ou physique pour l'existence
incluant le corps humain, les gènes qui déterminent
sa forme et ses traits, et le processus par lequel il a été
créé comme sans importance. Et il est nuisible
pour la réalité matérielle de considérer
les grands continuums de l'existence ou de la vie physique-biologique,
incluant les diverses races de l'humanité, comme étant
sans valeur et indignes d'attention, de soins et de préservation.
C'est le train de la logique qui conduit du dualisme et du gnosticisme
au nihilisme racial.
Mais le gnosticisme et le dualisme en général, et
leur influence sur les croyances et valeurs raciales en particulier,
sont seulement une partie de l'explication pour la domination
actuelle du nihilisme racial dans le monde occidental. La tendance
dominante de la culture « populaire » ou de masse
à l'époque récente, de la philosophie «
pop » à la psychologie « pop », a été
de mettre l'accent sur l'individuel tout en ignorant, en niant,
en rejetant, en violant et en sacrifiant les intérêts
de la plus grande entité le continuum évolutionnaire
ou race dont l'individu fait partie et dont l'individu est
venu, la plus grande et potentiellement immortelle
entité génétique dont l'existence continue
à travers les générations, alors que l'existence
de l'individu particulier est limitée à une génération.
Cette tendance culturelle n'est pas limitée à la
sphère séculière, mais domine aussi dans
la sphère religieuse, où le « salut »
qui est promis est le salut de l'individu, pas le salut ou la
continuation de la vie du continuum racial auquel l'individu appartient.
Certains nihilistes raciaux sont des individualistes extrêmes,
qui ne reconnaissent que les droits des individus (et peut-être
seulement l'existence des individus) dans un sens très
atomistique, sans reconnaître les droits (ni peut-être
l'existence) du groupe biologique dont ils font partie, dont l'existence
transcende la somme de ses parties et qui est potentiellement
immortel. Cette préoccupation excessive pour l'individu
atomisé, divorcé ou séparé du contexte
du plus grand continuum génétique dont il fait partie,
est un exemple classique de l'incapacité à voir
la forêt à cause des arbres. Les entités individuelles,
qu'il s'agisse d'un arbre ou d'un être humain, vont et viennent
dans leur génération, mais la plus grande entité
dont ils font partie, que ce soit la forêt ou la race, continue
à vivre. C'est la réalité durable, la réalité
qui continue, le continuum. La vie de l'individu est transitoire
et passe rapidement. C'est la vie de la forêt ou de la race
qui est potentiellement immortelle. Mais l'un ne peut exister
sans l'autre. L'individu isolé et la forêt ou la
race, la partie et le tout, dépendent tous deux de la santé
et du bien-être de l'autre.
Dans l'ancienne Grèce, les gens qui étaient excessivement
préoccupés par leurs propres affaires privées
ou individuelles, au point de négliger ou de rejeter leurs
responsabilités ou leur implication dans la plus grande
entité dont ils faisaient partie, et par conséquent
de s'en séparer, et de se séparer de l'attention
ou des soins pour ses intérêts, étaient appelés
idiotes. Il est donc étymologiquement correct de
désigner la condition dans laquelle un individu est préoccupé
de ses propres intérêts privés au point d'être
séparé de l'implication pour les intérêts
de sa race et de l'attention et des soins envers elle
par le nom d'idiotie raciale. Cette condition ordinaire de l'idiotie
raciale est une cause majeure du nihilisme racial, dans sa forme
active aussi bien que passive. Dans une culture saine, l'idiotie
raciale serait considérée comme dysfonctionnelle,
mais dans la culture actuelle la position dominante du nihilisme
racial permet à l'idiot racial d'avoir l'impression de
posséder une supériorité morale sur les individus
qui ne se séparent pas de leur race, mais qui s'en préoccupent
et qui promeuvent ses intérêts et sa préservation.
[6]
Une autre cause de nihilisme racial est une préoccupation
excessive pour les matières et les questions économiques.
En conséquence, les considérations raciales, incluant
la préservation et l'indépendance raciales, sont
couramment subordonnées aux considérations économiques.
Une grande partie de l'impulsion derrière le mouvement
du « Un Monde, Une Race » vient des intérêts
économiques. L'appel en faveur d'une économie mondiale
unifiée sans restrictions pour la circulation du «
travail » (des gens), permettant le mouvement ou l'immigration
libres de gens dans les foyers d'autres races, est une claire
expression de nihilisme racial, niant et violant le droit de chaque
race à la vie et à l'indépendance en lui
refusant le territoire racialement exclusif requis pour ces dernières.
L'essence de cette forme de nihilisme racial est qu'il voit tous
les gens comme des unités interchangeables de production
et de consommation, sans aucune différence incluant
les différences raciales digne d'attention ou de
préservation. Il est prêt et même impatient
à sacrifier les intérêts raciaux au
gain économique. D'une manière générale,
il promeut l'immigration multiraciale pour des raisons économiques
(en particulier des coûts salariaux plus faibles), avec
des effets racialement destructeurs sur la population existante
(déplacement et remplacement, ou extinction par mélange
et submersion génétique).
Le nihilisme racial, particulièrement dans ses formes les
plus activistes, est souvent associé à l'internationalisme
et au but du « One-World » d'un gouvernement mondial.
Pour de nombreuses personnes, ce but est motivé par le
désir de mettre fin à la guerre et au conflit en
établissant un règne de la loi parmi les peuples,
les nations ou les races, similaire au règne de la loi
que le gouvernement fait respecter parmi les individus. Ce règne
de la loi est un but louable à condition qu'il soit basé
sur le concept des droits raciaux et nationaux aussi bien que
des droits individuels, mais beaucoup d'internationalistes adoptent
la position nihiliste raciale selon laquelle le conflit humain
ne peut être aboli que par l'abolition de la diversité
et des différences humaines, par la destruction de tout
ce qui sépare l'humanité en différents types
et distingue un type des autres. Certaines personnes croient sincèrement
que le monde serait un endroit meilleur si toutes les races se
rejoignaient et s'unissaient, et sont motivées par cette
croyance pour soutenir le nihilisme racial dans la connaissance
consciente de ses effets racialement destructeurs (la chanson
de John Lennon Imagine était une expression de cette
croyance et de ce désir). D'autres sont motivées
par le nihilisme racial et le désir d'annihilation raciale
la réduction de la race à néant
comme une fin en soi, et utilisent simplement l'internationalisme
comme un prétexte pour justifier leur position et comme
un masque pour dissimuler leurs vrais motifs.
Le rêve du « Un Monde, Une Race » fournit un
véhicule efficace pour promouvoir le nihilisme racial,
puisqu'il n'accorde à aucune race le droit à son
propre territoire, à sa propre indépendance ou existence,
mais les condamnerait toutes au « melting-pot » multiracial,
où les traits qui distinguaient jadis les différentes
races existeraient seulement dans une solution, mélangés
à tous les autres, en fait dilués jusqu'à
l'inexistence. Le rêve de l'« Unicité »
raciale est en réalité un rêve simpliste et
réductionniste. Il cherche à réduire le complexe
au simple, pour remplacer les nombreux types et formes existants
par un type uniforme, en diluant les différences raciales
jusqu'au point d'inexistence ou de néant. Il imposerait
son rêve à la nature, changeant le cours de la nature,
en remplaçant la diversité raciale complexe créée
par le processus naturel d'évolution divergente par une
simple uniformité causée par un processus de dégénérescence
convergente. Par une ironie de la sémantique, le mélange
racial qui est souvent désigné par le nom d'intégration
raciale cause en réalité la désintégration
raciale, la dissolution et la destruction des races et de la diversité
raciale.
L'influence du nihilisme racial imprègne la culture contemporaine.
Ses valeurs sont promues dans les écoles et les églises,
dans la presse écrite et à la télévision,
par les enseignants et les prédicateurs, les journalistes
et les animateurs des débats télévisés.
Même ainsi, le soutien au nihilisme racial parmi la population
générale est plus passif qu'actif, plus inconscient
que conscient, plus le résultat de l'ignorance et de la
confiance mal placée que de la connaissance et de la compréhension.
Le public est bien endoctriné par les valeurs nihilistes
raciales, mais pas bien informé concernant les effets des
politiques nihilistes raciales, ou l'existence d'alternatives
possibles. La combinaison de l'endoctrinement généralisé
avec l'inertie et le conformisme, et l'exclusion des alternatives
possibles de la considération des principaux médias,
maintiennent la culture sur une trajectoire nihiliste raciale
et permettent d'accroître graduellement le rythme de destruction
raciale, même si le fanatisme du « vrai croyant »
est limité à un nombre relativement faible. Les
quelques-uns qui sont poussés par une intensité
passionnée ont plus d'influence que tous ceux qui manquent
de conviction, qui se fichent de tout, et qui condamnent leur
race à l'oubli par le coup mortel de l'indifférence.
Dans la société multiraciale, idéologiquement
justifiée et soutenue par le nihilisme racial, les différentes
races se voient refuser leur sens de la race ou de l'identité
raciale, leur lien organique avec le continuum de la vie dont
eux et leur propre vie font partie, dont celle-ci vient et auquel
elle appartient, l'objet naturel de leurs loyautés et affections,
de leur amour et responsabilités. Les gens se voient enseigner
depuis l'enfance à ne pas valoriser leur race, à
n'avoir aucun amour ou attention pour elle, ni aucune loyauté
envers elle. Telles sont les valeurs inculquées par le
nihilisme racial, privant la race de l'amour et de la loyauté
de ses membres, afin que son existence ne soit pas regardée
comme une valeur mais soit niée et violée. Ce sont
les valeurs génocidaires de la destruction raciale, au
moyen de l'aliénation et de la désaffection de l'amour
et de la loyauté naturels.
La conservation raciale a beaucoup en commun avec la conservation
de la nature. La conservation et la protection de la nature et
de l'environnement naturel dépendaient du développement
d'une éthique conservationniste ou environnementaliste,
un système de morale et de valeurs qui appréciait
et reconnaissait l'importance de l'environnement naturel et qui
cherchait à le préserver. La préservation
raciale dépend du développement d'une éthique
conservationniste pour la race, ou nature humaine, similaire à
l'éthique conservationniste développée pour
la nature non-humaine. Elle requiert une éthique, une moralité,
d'affirmation et de conservation raciales pour remplacer l'éthique
actuelle de négation et de destruction raciales, une moralité
avec une vision positive de la race comme un bien devant être
apprécié, chéri, valorisé, aimé
et préservé, plutôt que l'actuelle vision
négative de la race comme un mal devant être écarté,
rejeté et détruit. Une telle éthique ou moralité
est le fondement essentiel de la Charte Raciale.
Notes
[1] Cette négation est souvent impliquée ou
indirecte, comme dans la déclaration suivante du chroniqueur
du Miami Herald, Joel Achenbach, qui écrit que «
les 'races' sont les inventions arbitraires de l'ère coloniale
» (« Robobaby », Tropic , 5 avril 1992,
p. 19.). Parfois la négation par déconstruction
est explicite et directe, comme dans les affirmations suivantes
de Joan Steinau Lester, directeur du Equity Institute, une «
firme de consultation en diversité », qui écrit
: « L'idée de 'blanc' est une fiction, créée
à une époque où les Européens cataloguaient
et classifiaient tout La 'race' est un système de pensée
créée dans le but de maintenir la séparation
et le pouvoir. Puisque nous tentons en tant que nation de démanteler
les divisions et les inégalités 'raciales', il est
temps de désassembler les idées et les mots faits
pour fortifier les anciennes manières Braves gens, la race
est une plus grande escroquerie que Santa Claus. Non seulement
ce chien ne va pas à la chasse, mais il n'existe pas »
(« Is he white? Is he black? And, can you always really
tell? », The Miami Herald , 20 février 1994,
p. 3C.).
En fait, ce fut pendant l'ère de découverte et d'exploration
occidentale dont l'ère coloniale fut la phase expansionniste
finale que les différentes races de l'humanité
devinrent conscientes les unes des autres, que la connaissance
réelle de la diversité raciale humaine commença
à remplacer des siècles de mythe et de spéculation,
et que l'étude de la diversité raciale humaine devint
une discipline scientifique sérieuse. Dans ce sens les
différentes races furent « inventées »
pendant cette ère, puisque c'est alors qu'elles furent
pour la première fois étudiées, définies,
catégorisées, classifiées et dotées
d'un nom. Cependant, elles ne furent pas créées
par de tels moyens, mais par le même processus d'évolution
divergente qui créa toutes les autres variétés
de vie sur terre, un processus qui fut aussi conceptualisé
pour la première fois à l'apogée de l'ère
coloniale par le naturaliste anglais Charles Darwin.
[2] Au Moyen Age, la « terre désolée »
de l'orthodoxie intellectuelle et idéologique réprimait
et entravait, ou interdisait comme hérétique, l'étude
de toute branche de la connaissance ou de la philosophie qui était
incohérente ou contraire à ses propres croyances.
Dans la moderne terre désolée intellectuelle et
idéologique du nihilisme racial dogmatique, l'étude
de la connaissance concernant la race et les différences
raciales est réprimée ou entravée, ou bannie
comme « politiquement incorrecte », puisque cette
connaissance est incohérente avec ses propres croyances,
qui nient l'existence des races et des différences raciales
ou qui les considèrent comme étant sans valeur ou
importance.
La tendance des idéologies dominantes à être
intolérantes envers les autres idées ou croyances
est un danger persistant, requérant une vigilance constante
comme le prix pour préserver la condition historiquement
rare et fragile de liberté intellectuelle. Une idéologie
dominante tend à encourager les idées et les croyances
qui sont en accord avec elle, et à décourager, réprimer,
censurer ou bannir celles qui sont en désaccord. Au Moyen
Age, les idées ou les croyances qui étaient en désaccord
avec l'idéologie orthodoxe de l'Eglise catholique étaient
qualifiées d'hérésie. L'orthodoxie idéologique
actuellement dominante de l'égalitarisme nihiliste qualifie
les idées ou croyances raciales, sexuelles, historiques,
culturelles et morales de politiquement (idéologiquement)
correctes ou incorrectes suivant qu'elles tendent ou non à
approuver et à soutenir sa position. La « correction
politique » ou conformité avec la position
idéologique orthodoxe reçoit la priorité
sur la correction factuelle et sur les idéaux libéraux
classiques de liberté d'interrogation, de croyance et de
conscience, et le refus de lui donner la priorité est considéré
comme une faute morale ou un mal moral, prouvant un manque de
vertu.
[3] Joseph Campbell, The Masks of God: Occidental Mythology
(Penguin Books, 1964), p. 362.
[4] Ainsi, les sectes gnostiques rejetaient souvent la monogamie
et promouvaient soit le célibat soit une communauté
libre de partenaires sexuels où les relations exclusives
et les forts attachements personnels étaient interdits.
Une secte gnostique chrétienne, les phibionites, se livraient
à des orgies agapiques lors de leurs rites religieux.
[5] Des dictons gnostiques païens comme « libérez-vous
de tout ce qui est corporel », « rien n'est impossible
», et « pensez que vous êtes partout en même
temps », rappellent Jonathan Livingstone le Goéland,
écrit par Richard Bach, l'un des auteurs « New Age
» les plus connus, dont d'autres uvres philosophiques, en
particulier Le messie récalcitrant : Illusions,
expriment aussi des idées gnostiques.
[6] Les individus qui sont excessivement préoccupés
des intérêts de leur propre race au point d'ignorer
ou de rejeter les droits et les intérêts légitimes
des autres races, ou les intérêts de la vie de la
planète dans son ensemble, et de se séparer eux
et leur race de ces intérêts, pourraient être
décrits comme un autre type d'idiot racial. La promotion
des droits raciaux, de l'indépendance et de la préservation
raciales est aussi incompatible avec cette forme d'idiotie raciale
qu'elle l'est avec la forme nihiliste raciale.
La relation entre droits individuels et raciaux (c'est-à-dire
les droits de la plus grande entité dont l'individu fait
partie) peut être illustrée par l'histoire d'un groupe
de gens dans un bateau. Une personne affirme qu'elle a le droit
de faire un trou dans la coque du bateau sous son propre siège.
Les autres protestent, expliquant que s'il était dans un
bateau pour lui seul il aurait le droit de faire ce qui lui plairait,
puisque lui seul souffrirait des conséquences, mais que
puisque d'autres étaient dans le même bateau que
lui, et que les conséquences de ses actions ne seraient
pas limitées à son propre siège et à
lui seul, mais couleraient le bateau entier et les affecteraient
tous, il n'avait pas le droit de mettre en danger le bateau qu'ils
partageaient en commun. Cette histoire peut être vue comme
une métaphore, le faiseur-de-trou potentiel représentant
l'individu idiot ou immoral, les autres occupants représentant
sa race, l'eau représentant une menace pour l'existence
de sa race, et le bateau représentant la condition qui
protège l'existence de sa race contre la menace. Cette
métaphore peut être appliquée à la
situation qui survient lorsque quelques individus affirment un
droit d'introduire les gènes d'autres races (représentées
dans la métaphore par la quantité d'eau environnante)
dans leur race soit par mélange, adoption, immigration
ou autre moyen faisant ainsi un trou ou une brèche
dans la condition protectrice de la séparation raciale
(le bateau), brèche par laquelle les gènes des autres
races (l'eau) peuvent entrer et se répandre dans toute
leur race, les menaçant tous y compris les générations
à venir de destruction par inondation et naufrage
génétique.