La Race Nordique
par
Richard McCulloch

 

La vie, dans toutes ses formes et manifestations nombreuses et variées, élevées et basses, est le produit du processus d'évolution divergente. La race nordique ou nord-européenne [« Nordish »], centrée en Europe du Nord, est l'une de ces formes de Vie, distincte de toutes les autres, et exhibe dans ses divers rangs de nombreux traits qui sont uniques.


Peut-être n'existe-t-il nulle part ailleurs sur la terre une plus grande quantité de variété humaine qu'en Europe. C'est un riche trésor de diversité humaine, chacune de ses nations et chacun de ses peuples est un trésor de l'humanité devant être chéri et préservé. Le développement et la préservation de cette vaste diversité furent longtemps nourris et protégés par l'isolation géographique relative de l'Europe. Cela fut particulièrement vrai pour l'Europe de l'Ouest, qui « était un cul-de-sac à l'extrémité du monde habité, avec seulement des routes d'accès assez étroites venant de l'est, aucune ne venant de l'Ouest ni du Nord glacé, et aucune venant du Sud avant que les humains ne puissent naviguer à travers la Méditerranée » [Note 1]. Comme on peut s'y attendre avec cette insularité protégée, toutes les races indigènes de l'Europe appartiennent à la même sous-espèce : la caucasienne (les Non-Caucasiens ne commencèrent pas à entrer en Europe en nombre significatif avant 1957). Mais ils n'appartiennent pas tous à la même race, puisqu'ils ne peuvent pas tous se mélanger sans annuler ou diminuer les traits raciaux de l'une ou des deux souches parentes. En fait, la population européenne consiste en plusieurs groupes raciaux régionaux différents ou races géographiques dont les traits ne sont pas génétiquement compatibles mais qui sont annulés ou diminués par le croisement entre ces groupes.


Il y a trois principaux groupements raciaux régionaux en Europe. La région Sud (Portugal, Espagne, Italie et Grèce) est une zone de contact raciale (une zone frontière où des races différentes se rencontrent et se croisent) où le groupe racial méditerranéen ­ qui habite l'Asie du Sud-Ouest (le « Moyen-Orient ») et l'Afrique du Nord aussi bien que l'Europe du Sud ­ s'est longtemps mélangé avec les envahisseurs venant des régions nordiques de l'Europe. Dans ce « melting pot » d'Europe du Sud ­ qui a dissous de nombreux peuples dans sa solution ­ les Méditerranéens, dans divers types locaux, sont généralement dominants, ayant assimilé la plupart des autres éléments avec lesquels ils se sont hybridés, bien que quelques restes des autres éléments survivent encore.


Dans la région centrale, le groupe racial alpin ­ incluant les races alpine, dinarique et ladoguienne de France du Sud, d'Italie du Nord, de Slovaquie, de Hongrie, des Balkans, d'Ukraine et de Russie de l'Est ­ est prédominant.


La région nordique est habitée par le groupe racial nordique (« Nord » étant le mot utilisé en français et en allemand). Ce dernier peut être divisé en deux sous-groupes : un sous-groupe intérieur ou central composé des sous-races et sous-types nordique, Borreby, Brünn, falique, Trönder et anglo-saxon des Iles Britanniques, de Scandinavie, d'Allemagne du Nord, des Pays-Bas et de Belgique ; et un sous-groupe extérieur ou périphérique, qui inclut les sous-types atlantiques des Iles Britanniques, et les sous-types norique, est-baltique et néo-danubien qui prédominent en France du Nord, en Allemagne du Sud, en Suisse, en Autriche, en République Tchèque, en Finlande, dans les Etats baltes, en Pologne et en Russie du Nord-Ouest. Ces derniers habitent la zone de contact raciale entre les groupes raciaux centraux nordique et alpin, et sont des types intermédiaires résultant de l'hybridation ou du mélange entre ces deux groupes, l'élément nordique étant généralement plus nombreux et prédominant. Le terme nordique [« Nordish »] est ici utilisé pour désigner les peuples indigènes d'Europe du Nord dans leur ensemble, incluant les types centraux et périphériques, et aussi les populations d'Amérique du Nord, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, d'Afrique du Sud et d'ailleurs dont les ancêtres étaient d'origine raciale nord-européenne.


Bien que ce système de classification soit trop simple pour être complètement exact, et certainement trop simple pour être considéré comme complet, il est relativement précis pour identifier les groupes de populations européennes qui ont un degré suffisant de similarité et de compatibilité génétique pour pouvoir se croiser plus ou moins librement à l'intérieur d'un groupe sans annuler ­ ou altérer ou perturber significativement ­ leurs ensembles uniques et distinctifs de caractéristiques génétiques. Ces groupes raciaux peuvent donc être définis comme des races. Par conséquent, bien que ces races puissent être ensuite subdivisées en une riche variété de sous-races et de sous-types, le degré racial de classification sera considéré comme suffisant pour la plupart des discussions dans ce travail. Une description plus détaillée des subdivisions ­ sous-races et sous-types ­ de la race nordique est donnée dans l'exposé ci-dessous, suivi par une liste des pays d'Europe montrant la distribution des différents types raciaux européens. Pour une description plus détaillée des Méditerranéens, Alpins et autres groupes raciaux, voir Les races de l'humanité.
La race nordique, comme beaucoup d'autres, peut être conçue comme une série de cercles concentriques, avec le cercle le plus intérieur, le noyau ou centre racial, composé des types sous-raciaux les plus distincts et définitifs, par rapport auxquels, en degrés de proximité ou de distance, sont définis les types sous-raciaux des cercles extérieurs. L'exposé racial donné ci-dessous est basé sur ce principe. Certains des noms proviennent de sites archéologiques où des spécimens anciens des divers types ont été découverts, les autres sont basés sur des régions géographiques avec lesquels les types sont associés.

Race nordique ou nord-européenne

1. Cercle intérieur du noyau ou types sous-raciaux centraux

a. Sous-races européennes du Nord-Ouest aborigènes (les descendants des premiers peuples à s'installer en Europe du Nord après le retrait des glaciers, à la fin du dernier âge glaciaire, pendant le Paléolithique supérieur vers 8.000 av. J.C.)
1.) Sous-race Borreby (nommée d'après le site sur une île danoise où des vestiges paléolithiques furent découverts ; élément principal au Danemark, sur la côte sud-ouest de la Suède, en Allemagne du Nord, en Rhénanie et dans la Ruhr, élément majoritaire en Wallonie)
2.) Sous-race Brünn (nommée d'après le site paléolithique près de Brno, ou Brünn, en République Tchèque ; élément prédominant en Irlande de l'Ouest)
b. Sous-race nordique ou nordide (la sous-race nordique moderne descend des agriculteurs néolithiques danubiens proto-nordiques de la vallée du Danube dont l'expansion dans l'Europe du Nord-Ouest vers 3.500 av. J.C. est probablement associée à l'expansion de l'agriculture néolithique et à la langue indo-européenne)
1.) Type Hallstatt ou Österdal (nommé d'après le site autrichien où des vestiges furent découverts et d'après la vallée norvégienne près d'Oslo ; élément prédominant en Suède et en Norvège du Sud-Est, fréquent au Danemark, en Finlande de l'Ouest, en Angleterre de l'Est et en Allemagne du Nord)
2.) Type celtique (élément prédominant dans les Flandres, majoritaire aux Pays-Bas et en Suisse du Nord et de l'Ouest, élément principal en Angleterre, en Ecosse de l'Est et en Franconie en Allemagne du Sud-Ouest, fréquent au Pays de Galles et Irlande ; les anciens Francs et les Celtes du Nord appartenaient à ce type)
c. Types mélangés des sous-races ci-dessus
1.) Type anglo-saxon ou ancien type germanique Reihengräber (mélange nordique-Brünn ; élément prédominant dans la province hollandaise de Friesland (Frise) et dans les îles frisonnes hollandaises et allemandes, fréquent en Angleterre du Sud-Est et en Allemagne du Nord-Ouest)
2.) Type Trönder (mélange Brünn-nordique ; élément prédominant dans la région de Tröndelagen en Norvège de l'Ouest [d'où le nom] et en Islande, fréquent en Angleterre du Nord-Est et en Ecosse)
3.) Type falique, dalo-falique ou dalo-nordique (mélange nordique-Borreby ; noms d'après Fälen [germanique pour « plaine »] et la région de Dalarna en Suède (Kopparberg) ; élément principal dans la plaine d'Allemagne du Nord, au Jutland et dans la province suédoise du Kopparberg)

2. Cercle extérieur des types sous-raciaux périphériques

a. Types périphériques du Nord-Ouest (anciens mélanges stabilisés du cercle intérieur ou habitants nordiques centraux de l'Europe du Nord-Ouest avec des immigrants atlanto-méditerranéens mésolithiques)
1.) Type nord-atlantique (associé aux monuments mégalithiques et aux sites funéraires des tumulus allongés ; élément principal au Pays de Galles, sur la côte Sud-Est de l'Irlande et en Ecosse de l'Ouest, fréquent en Angleterre ; combine les cheveux sombres avec des yeux habituellement clairs)
2.) Type paléo-atlantique (fréquent au Pays de Galles et en Angleterre de l'Ouest et en Ecosse depuis les Midlands jusqu'à Glasgow, élément mineur en Norvège ; cheveux et yeux de couleur sombre)
b. Types périphériques du Sud et de l'Est (anciens mélanges stabilisés des types nordiques du cercle intérieur avec les races caucasoïdes voisines)
1.) Type néo-danubien (mélange périphérique de l'Est de Proto-Nordiques danubiens originaux avec des Ladoguiens, l'élément danubien étant dominant ; élément majoritaire en Pologne et en Biélorussie, élément principal en Hongrie, en Ukraine de l'Ouest et en Russie du Nord-Ouest, important en Finlande et dans les Etats baltes)
2.) Type est-baltique (mélange périphérique du Nord-Est de Borreby et/ou de Faliques avec des Néo-Danubiens et/ou des Ladoguiens ; élément majoritaire en Finlande et dans les Etats baltes, anciennement prédominant en Ancienne Prusse, mais cet élément est maintenant dispersé dans toute l'Allemagne en résultat de l'expulsion d'après-guerre de la population prussienne hors de son habitat ancestral)
3.) Type norique ou sous-nordique (mélange périphérique du Sud de Nordiques avec des Alpins et/ou des Dinariques, l'élément nordique étant dominant ; élément principal en France du Nord, élément important en Allemagne centrale et en Autriche, fréquent en Transylvanie et en Ukraine de l'Ouest, mineur dans les Iles Britanniques)

Dominant ou prédominant = majorité de plus de 60%
Majoritaire ou majeur = majorité de 50-60%
Principal = pluralité de 25-49% ; moins qu'une majorité, mais type racial le plus nombreux
Important = minorité de 25-49% ; pas le type racial le plus nombreux
Fréquent = minorité de 5-25%
Mineur = minorité de moins de 5%

Il y a une variation régionale à l'intérieur des types, formant des sous-types et variétés locaux. Des trois sous-races nordiques centrales, les Borreby et les Brünn tendent à avoir des têtes un peu plus grosses, des traits plus épais et des corps plus lourds que les nordiques. En taille ils sont essentiellement semblables. Parmi les présidents américains de ce siècle, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt et George Bush [père] sont de bons exemples de la sous-race nordique, Théodore Roosevelt et Gérald Ford de la Borreby, et John Kennedy de la Brünn. Les Paléo-Atlantiques ont typiquement les yeux sombres (bruns ou sombres mêlés, ces derniers étant un mélange de brun avec du bleu ou du vert). Les autres types nordiques ont surtout les yeux clairs (bleus, gris, verts ou clairs mêlés). Les yeux clairs mêlés (un mélange de bleu et de vert) sont particulièrement fréquents dans la sous-race nordique. Les deux types atlantiques ont les cheveux sombres. Parmi les autres types, la couleur des cheveux varie du très sombre au très clair, les tons clairs et bruns clairs étant généralement les plus fréquents parmi les adultes. La couleur des cheveux est plus claire parmi les enfants, et fonce habituellement avec l'âge. Parmi les adultes, l'incidence des cheveux blonds varie de 13-15% chez les Borreby wallons et les Brünn irlandais jusqu'à plus de 50% chez parmi les Nordiques Halstatt, les Trönder, les Borreby et les Faliques de Scandinavie, les Anglo-Saxons de Frise, et les Est-Baltiques de Finlande. En Angleterre, en Ecosse et en Irlande, l'incidence des cheveux blonds est beaucoup plus forte dans l'Est que dans l'Ouest, en Allemagne elle est beaucoup plus forte dans le Nord que dans le Sud. En règle générale, plus l'incidence de cheveux blonds est forte, plus la proportion de tons blonds clairs par rapport aux blonds foncés est forte aussi. Les cheveux roux sont fréquents dans les souches Brünn et Borreby (et dans celles de dérivation Brünn ou Borreby partielle), en nombre minime chez les Nordiques. Pour référence, une estimation de la distribution des types raciaux dans les populations européennes indigènes est donnée ci-dessous :

Estimation de la composition raciale et du pourcentage nordique dans les populations européennes indigènes :

Suède
= 70% de Nordiques Hallstatt (Carleton Coon a qualifié la Suède de zone refuge pour la race nordique classique), 10% de Borreby (surtout dans la région côtière du Sud-Ouest), 10% de Faliques (surtout dans le Dalarna [Kopparberg] et dans la région côtière du Sud-Ouest), 5% de Trönder (surtout près de la frontière norvégienne centrale), 5% d'Est-Baltiques = 100% de Nordiques (95% de types centraux et 5% de types périphériques)
Norvège = 45% de Trönder (surtout dans l'Ouest), 30% de Nordiques Hallstatt (surtout dans la région Sud-Est autour d'Oslo), 10% de Borreby (surtout dans le Sud-Ouest), 7% de Faliques (surtout dans le Sud), 5% d'Est-Baltiques (surtout dans le grand Nord), 3% de Paléo-Atlantiques (on les trouve dans les zones côtières de l'Ouest) = 100% de Nordiques (92% de types centraux et 8% de types périphériques)
Danemark = 40% de Borreby, 30% de Faliques, 20% de Nordiques Hallstatt, 5% d'Anglo-Saxons, 5% d'Est-Baltiques = 100% de Nordiques (95% de types centraux et 5% de types périphériques)
Islande = 60% de Trönder, 22% de Borreby, 15% de Brünn, 3% de Paléo-Atlantiques = 100% de Nordiques (97% de types centraux et 3% de types périphériques)
Angleterre = 30% de Nordiques celtiques (descendants des envahisseurs de l'Age de Bronze pré-romain), 20% d'Anglo-Saxons (envahisseurs germaniques post-romains, surtout dans le Sud-Est, particulièrement en Est-Anglie), 15% de Nord-Atlantiques et 10% de Paléo-Atlantiques (mélange d'envahisseurs atlanto-méditerranéens mésolithiques avec à la fois les premiers et les derniers arrivants ; surtout dans les Midlands et le Nord-Ouest), 8% de Nordiques Hallstatt (descendants des Vikings et des Normands), 5% de Brünn, 5% de Trönder (descendants des Vikings norvégiens ; surtout dans le Nord-Est), 3% de Borreby et 2% de Faliques (descendants des Vikings et des Normands ; associés à la noblesse terrienne ; source du type « John Bull », 2% de Noriques (descendants des envahisseurs de l'Age de Bronze) = 100% Nordiques (73% de types centraux et 27% de types périphérique)
Ecosse = 30% de Nordiques celtiques, 22% de Trönder (surtout dans le Nord-Est), 10% de Nord-Atlantiques (surtout dans l'Ouest), 10% d'Anglo-Saxons (surtout dans le Sud-Est), 10% Paléo-Atlantiques (surtout dans le Sud-Ouest), 5% de Brünn, 5% de Nordiques Hallstatt, 4% de Borreby, 4% de Noriques = 100% de Nordiques (76% de types centraux et 24% types périphériques)
Irlande = 40% de Brünn (habitants indigènes paléolithiques, surtout dans l'Ouest), 30% de Nordiques celtiques (surtout dans l'Est), 9% de Nord-Atlantiques, 9% de Borreby, 3% de Paléo-Atlantiques, 3% de Trönder, 2% de Noriques, 2% d'Anglo-Saxons, 1% de Nordiques Hallstatt = 100% de Nordiques (86% de types centraux et 14% de types périphériques)
Pays de Galles = 35% de Nord-Atlantiques, 30% de Paléo-Atlantiques, 30% de Nordiques celtiques, 5% d'autres types = 100% de Nordiques (35% de types centraux et 65% de types périphériques)
Pays-Bas = 50% de Nordiques celtiques (descendants des Francs), 20% de Borreby, 10% d'Anglo-Saxons (surtout en Frise), 10% de Faliques, 10% de Nordiques Hallstatt = 100% de Nordiques Centraux
Belgique = 60% de Nordiques celtiques (surtout dans les Flandres, descendants des anciens Belges et Francs), 35% de Borreby et 5% d'Alpins (tous deux surtout en Wallonie) = 95% de Nordiques Centraux
Luxembourg = 80% d'Alpins, 15% de Borreby, 5% d'autres types nordiques = 20% de Nordiques Centraux
Allemagne = 25% de Borreby (surtout dans les vallées du Rhin et de la Ruhr et dans le Nord), 20% de Faliques (surtout dans le Nord), 15% d'Alpins (surtout dans le pays de Bade et en Bavière), 15% de Noriques, 6% de Nordiques celtiques (surtout en Franconie dans le Sud-Ouest), 5% d'Anglo-Saxons (surtout dans le Nord-Ouest), 5% d'Est-Baltiques, 5% de Dinariques, 4% de Nordiques Hallstatt = 80% de Nordiques (60% de types centraux et 20% de types périphériques)
France = 30% d'Alpins, 30% de Noriques (surtout dans le Nord), 20% de Méditerranéens (surtout dans le Sud et en Corse), 15% de Dinariques, 3% de Borreby (dans le Nord-Est), 2% de Nordiques = 35% de Nordiques (5% de types centraux et 30% de types périphériques)
Suisse = 40% de Nordiques celtiques et 30% de Noriques (surtout dans le Nord, l'Ouest et le Centre), 15% de Dinariques et 15% d'Alpins (surtout dans le Sud et dans l'Est) = 70% de Nordiques (40% de types centraux et 30% de types périphériques)
Autriche = 35% de Noriques, 25% de Dinariques, 20% d'Alpins, 15% de Nordiques celtiques, 5% de Nordiques Hallstatt = 55% de Nordiques (20% de types centraux et 35% de types périphériques)
Pologne = 55% de Néo-Danubiens, 10% de Ladoguiens, 10% d'Alpins, 10% de Dinariques, 5% de Nordiques Hallstatt, 5% de Noriques, 5% d'Est-Baltiques = 70% de Nordiques (5% de types centraux et 65% de types périphériques)
Finlande et Etats Baltes = 50% d'Est-Baltiques, 15% de Nordiques Hallstatt (surtout dans les régions de peuplement suédois de Finlande), 30% de Néo-Danubiens (surtout en Lituanie du Sud-Est et en Finlande du Nord-Est), 5% de Ladoguiens = 95% de Nordiques (15% de types centraux et 80% de types périphériques)
République Tchèque et Slovaquie = 40% d'Alpins et 15% de Noriques (surtout en Bohème), 25% de Dinariques (surtout en Moravie), 20% de Néo-Danubiens (surtout en Slovaquie) = 35% de Nordiques Périphériques
Hongrie = 35% de Néo-Danubiens (surtout dans le Nord-Est), 25% de Touraniens (d'ascendance magyare), 20% de Dinariques (surtout dans le Sud-Ouest), 15% d'Alpins (surtout dans le Sud), 2% de Nordiques, 2% de Noriques, 1% de Méditerranéens de l'Est = 39% de Nordiques (2% de types centraux et 37% de types périphériques)
Russie, Biélorussie et Ukraine = 40% de Néo-Danubiens (surtout en Biélorussie et en Ukraine de l'Ouest), 35% de Ladoguiens, 8% de Nordiques, 7% de Méditerranéens de l'Est (surtout près de la côte de la Mer Noire), 5% de Dinariques (surtout en Ukraine de l'Est), 5% de Noriques = 53% de Nordiques (8% de types centraux et 45% de types périphériques)
Espagne et Portugal = 85% de Méditerranéens de l'Ouest, 9% de Méditerranéens du Sud, 5% de Dinariques, 1% de Nordiques (surtout dans les restes de l'aristocratie wisigothe) = 1% de Nordiques Centraux
Italie = 50% de Méditerranéens dinaricisés (surtout dans le Sud et en Sicile), 20% de Dinariques (surtout dans le Nord), 15% d'Alpins (surtout dans le Nord-Ouest), 10% de Méditerranéens de l'Ouest (surtout en Sardaigne), 4% de Noriques (surtout dans le Nord), 1% de Nordiques (surtout dans les restes de l'aristocratie ostrogothe et lombarde) = 5% de Nordiques (1% de types centraux et 4% de périphériques). L'Italie, tout comme les autres pays européens du Sud de la région méditerranéenne ­ Espagne, Portugal et Grèce ­ a connu plusieurs vagues d'invasions nordiques pendant le début et la fin de l'époque médiévale, depuis les Danubiens (vers 2.000-1.500 av. J.C.), qui apportèrent la langue indo-européenne qui évolua en latin, et les Celtes (à partir de 500 av. J.C.), jusqu'aux Ostrogoths et aux Lombards germaniques (400-700 apr. J.C.). Ces éléments nordiques ont été progressivement assimilés dans la population méditerranéenne majoritaire, mais certains de leurs traits génétiques, existant dans le mélange, se recombinent occasionnellement pour apparaître dans des individus dont les autres traits sont principalement non-nordiques.
Serbie, Croatie, Bosnie, Slovénie et Macédoine = 75% de Dinariques, 10% de Méditerranéens de l'Ouest (surtout sur la côte), 10% de Noriques et 5% de Néo-Danubiens (surtout dans le Nord) = 15% de types nordiques périphériques
Roumanie = 35% de Dinariques (surtout dans l'Ouest), 25% de Méditerranéens de l'Est (surtout sur la côte), 20% de Néo-Danubiens (surtout au Nord-Est), 10% d'Alpins, 7% de Noriques et 3% de Nordiques (surtout dans l'Ouest) = 30% de Nordiques (3% de types centraux et 27% de types périphériques)
Albanie = 75% de Dinariques, 10% de Méditerranéens de l'Ouest, 10% d'Alpins, 5% de Noriques = 5% de Nordiques périphériques
Bulgarie = 60% de Méditerranéens de l'Est, 15% d'Alpins, 15% de Dinariques, 5% de Touraniens, 5% de Nordiques
Grèce = 40% de Méditerranéens de l'Est, 25% de Méditerranéens dinaricisés, 20% d'Alpins (surtout en Epire), 10% de Dinariques, 5% de Nordiques (restes partiellement assimilés, ou recombinaisons génétiques à partir du mélange de divers envahisseurs nordiques du passé, principalement de type danubien, descendants des anciens Achéens et Doriens; surtout dans le Nord)

Groupes ethniques européens non-indigènes extra-territoriaux :

Juifs ­ Divisés en branches ashkénaze, séfarade et orientale. Tous font remonter leurs origines d'avant la diaspora (la dispersion des Juifs en-dehors d'Israël) aux anciens Hébreux, qui originellement appartenaient à la sous-race orientale ou arabique de la race méditerranéenne. Il est probable qu'au début de la diaspora ils étaient déjà hybridés avec des éléments arménoïdes. Racialement, la diaspora est largement une histoire d'hybridation ultérieure avec les populations des différentes régions dans lesquelles résidaient les divers groupes juifs. La branche ashkénaze moderne associée à l'Europe de l'Est, de loin la plus nombreuse, est un mélange essentiellement arménoïde incluant des éléments plus faibles d'origine orientale, touranienne, ladoguienne, alpine, dinarique et nordique. La branche séfarade est essentiellement un mélange oriental-arménoïde hybridé avec des Méditerranéens de l'Ouest. La branche orientale reste essentiellement fidèle au type d'avant la diaspora.
Gitans ­ originaires de l'Inde ; des races dravidienne et indienne.

[Lien vers La moyenne raciale est la destinée raciale]

Dans de nombreuses régions (par ex. au Danemark et en Allemagne du Nord), les divers types nordiques sont inextricablement mélangés (comme c'est aussi fréquent parmi les Nord-Européens aux Etats-Unis), souvent avec des classifications sous-raciales différentes entre frères et surs ou entre parents et enfants, et avec de nombreux individus intermédiaires entre les types, mais transférés au type qu'ils favorisent le plus fortement. La population relativement homogène de Nordiques Halstatt en Norvège du Sud-Est et en Suède centrale, qualifiées par Carleton Coon de « zone refuge pour la race nordique classique », est une exception à cette règle.


Les exposés et estimations ci-dessus sont une synthèse de plusieurs sources, dont les principales sont Race (1974) de John R. Baker et The Races of Europe (1939) de Carleton S. Coon. Les estimations de populations n'incluent pas les récents (d'après 1957) immigrants non-européens (par ex. en 1955, la population non-européenne en Grande-Bretagne était seulement de 50.000 personnes), les éléments extra-territoriaux (Juifs et Gitans) installés depuis plus longtemps mais néanmoins d'origine non-européenne, ou l'élément lapon en Europe arctique.


Les éléments classés ci-dessus comme nordiques sont présents en Europe du Nord depuis l'époque néolithique ou avant (c'est-à-dire, avant 3.000 av. J.C.), bien qu'il y ait eu des mouvements importants d'éléments à l'intérieur de cette région depuis lors. Ces éléments peuvent être considérés comme aborigènes ou indigènes pour la région nord-européenne générale. Avant l'époque actuelle (d'après 1957), l'intrusion non-nordique dans cette région était très limitée, de sorte qu'on pouvait dire qu'il existait un environnement racial protégé, comme pour les Mongoloïdes en Chine centrale ou les Congoïdes dans le bassin du fleuve Congo. Les éléments nord-européens se répandirent vers l'est et vers le sud à partir de ce foyer racial, mais il y eut peu d'intrusion racialement significative d'éléments non-nordiques dans ce foyer. Les exceptions à cette règle incluent : l'élément lapon préexistant qui resta limité au grand Nord ; le mélange graduel de Borreby et de Slaves nordiques danubiens d'origine avec les Ladoguiens non-nordiques à la périphérie est ; l'intrusion d'éléments touraniens partiellement mongoloïdes venant d'Asie centrale à la périphérie est, des Huns aux Magyars et aux Tatars, exerçant leur influence la plus à l'ouest en Hongrie ; et l'intrusion d'éléments extra-territoriaux d'origine non-européenne (par ex., les Juifs à partir de l'époque romaine et les Gitans après 1300). Dans la période d'après 1957, cette situation ancienne a changé drastiquement et rapidement du fait de l'immigration massive d'autres races en Europe du Nord, initialement dans les anciennes puissances coloniales, plus tard dans tous les pays non-communistes du foyer nordique.


Les Nordiques se sont largement répandus à partir de leur foyer européen, durant les quatre derniers siècles. Leur plus grande acquisition fut le continent nord-américain au nord du Rio Grande, où ils créèrent les Etats-Unis et le Canada. Les célèbres voyages de Christophe Colomb, à partir de 1492, ouvrirent l'Amérique Centrale et l'Amérique du Sud et les Caraïbes à la conquête et à la colonisation espagnole et portugaise, mais eurent relativement peu d'importance pour la race nordique ou pour l'Amérique du Nord. Plus d'un siècle passa entre l'époque du dernier voyage de Colomb et la fondation du premier établissement nordique permanent sur le continent qui, au cours des siècles suivants, devint un vaste et nouveau foyer pour la race nordique. Mais, contrairement aux intérêts raciaux nordiques ­ qui requéraient une nation nordique racialement homogène pour assurer l'indépendance et la préservation raciales ­ une partie (environ 5%) du trafic massif d'esclaves congoïdes, originellement et principalement dirigés vers les marchés des Caraïbes et d'Amérique du Sud, fut redirigée vers les colonies anglaises du Sud. Ce fut le début du problème racial, une blessure qui s'infecta, souvent saigna, résista aux solutions, s'aggrava, s'élargit et grandit jusqu'au point où la prédominance, ou la survie même, de la race nordique en Amérique du Nord, et même en Europe du Nord, est maintenant menacée.


La race nordique (1998) compte environ 530 millions d'individus, constituant environ 21% de la sous-espèce caucasoïde et environ 8,8% de la population humaine totale du monde. Mais à cause du déclin drastique de son taux de natalité depuis 1970, jusqu'à moins de la moitié de la moyenne mondiale (jusqu'à environ 1,8 enfant par femme, ou 15% au-dessous du niveau de remplacement de 2,1 par femme), seulement environ 4,4% des enfants et des nouvelles naissances du monde sont nordiques. Des 530 millions de Nord-Européens, environ 260 millions sont des types centraux et 270 millions des types périphériques. Approximativement 345 millions sont en Europe (135 millions des types centraux et 210 millions des types périphériques) et 185 millions en-dehors d'Europe (125 millions des types centraux et 60 millions des types périphériques) dans les nouveaux foyers nordiques des Etats-Unis (142 millions), du Canada (21 millions), d'Australie (15 millions), de Nouvelle-Zélande (2,8 millions) et d'Afrique du Sud (4,5 millions).


La proportion presque inverse des types nordiques centraux et périphériques entre les populations d'Europe et d'outre-mer est remarquable, et est due au rôle dirigeant joué par les Nordiques surtout centraux d'Europe du Nord-Ouest, particulièrement des Iles Britanniques, dans le peuplement des nouveaux foyers raciaux. En résultat, les nouveaux foyers nordiques en-dehors d'Europe, qui ont seulement 35% de la population nordique totale, ont jusqu'à 48% de la population nordique centrale. Pour illustrer cela, les 142 millions de Nord-Européens aux Etats-Unis sont environ 65% des types centraux et 35% des types périphériques, alors que les Nord-Européens dans les pays d'Europe de l'Est sont environ 15% des types centraux et 85% des types périphériques. Il y a aussi une différence dans les types périphériques eux-mêmes, puisqu'une partie majeure de ceux des USA sont des types atlantiques du Nord-Ouest, principalement d'ascendance britannique, alors que ceux d'Europe de l'Est sont des types orientaux, particulièrement le néo-danubien.


Dans le peuplement de la terre durant les cinq derniers siècles, il y a eu de grandes migrations raciales et la création de nouveaux foyers raciaux. La race nordique ou nord-européenne, en particulier, a joui d'une expansion géographique importante pendant cette période, acquérant le continent américain au nord du Rio Grande, l'Australie et la Nouvelle-Zélande comme nouveaux foyers pour sa croissance et son développement futurs. Mais les grandes opportunités sont souvent accompagnées par de grands périls, et la manière de cette expansion a créé des dangers raciaux nouveaux et sans précédent pour la race qui l'a conduite. Dans ses efforts pour refaire le monde à sa propre image, elle a semé les semences dont la moisson la menace maintenant de destruction.


En presque deux siècles de domination mondiale, la race nordique a changé le monde, pour le meilleur et pour le pire. En changeant le monde, la race nordique elle-même n'est pas restée à l'abri du changement, pour le meilleur et pour le pire. Elle a mis en mouvement des forces qui ont finalement excédé sa puissance de contrôle, mais ce qui a été fait ne peut pas être défait. La boîte de Pandore a été ouverte, les dents du dragon ont poussé, d'autres races ont été stimulées, rechargées et mobilisées pour rechercher leurs propres buts et intérêts, et pour défier et menacer les intérêts les plus vitaux de la race dont la touche légère, ou la main lourde, les a mis en mouvement.


La race nordique est sortie de ses foyers pour conquérir le monde, mais elle est maintenant en péril de perdre tout ce qu'elle possède, tout ce qu'elle est et tout ce qu'elle peut devenir. Dans sa tentative de tout gagner, elle a tout risqué sans le savoir et imprudemment, et est maintenant en danger de tout perdre. La nature de ce risque et de ce danger ultime est le sujet des autres essais sur ce site.

1. Christopher Stringer et Clive Gamble, In Search of the Neanderthals, (Thames and Hudson, 1993), pp. 121-122.

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