L'espèce humaine est douée d'une grande variété et d'une grande diversité. Sa riche diversité résulta de sa distribution mondiale, qui entraîna les différentes populations de l'humanité à être géographiquement séparées et donc isolées pour leur reproduction. L'isolation reproductive rendit possible la divergence le processus d'évolution divergente , causant l'évolution des populations isolées dans des directions différentes, développant leurs propres ensembles distincts de traits et caractéristiques génétiques.
L'évolution divergente est le processus par lequel de nouvelles
formes de vie sont créées par la division et la
séparation de la vie en branches différentes. L'évolution
humaine a vu son partage en différentes branches. Le nom
générique habituellement utilisé pour désigner
les populations génétiquement différentes,
branches ou divisions de l'humanité qui partagent
à la fois un héritage biologique commun et un ensemble
de traits et de caractéristiques uniques, génétiquement
transmis qui les distinguent des autres populations est
« race ». Mais dans l'espèce humaine, comme
dans toute espèce jouissant d'un haut degré de variété,
la ramification et la division constantes qui caractérisent
le processus d'évolution divergente a créé
de nombreux niveaux de ramification et de division différents,
dont chacun possède des traits génétiques
qui le distinguent des autres branches ou divisions au même
niveau. Dans un souci d'exactitude taxonomique chacun de ces niveaux
devrait avoir son propre nom et sa propre définition. Le
premier niveau ou niveau le plus élevé est appelé
les espèces, et il est simplement et objectivement défini
comme incluant toutes ces populations qui sont capables de se
reproduire entre elles et de produire une progéniture pleinement
féconde, et qui en fait se reproduisent entre elles dans
des conditions de contact étroit et prolongé. Le
terme race est ordinairement utilisé pour désigner
une branche ou une division de l'espèce possédant
des traits génétiques qui la distinguent des autres
branches ou divisions au même niveau. En addition à
cette définition, il sera aussi défini ici comme
incluant seulement ces personnes qui sont capables de se reproduire
entre elles sans la perte ou la diminution ou altération
significative des traits génétiques racialement
distinctifs de chacune des deux souches parentes. Les traits génétiquement
transmis qui distinguent une race des autres divisions au même
niveau (c'est-à-dire, les autres races) ne doivent pas
être diminués ou perdus par la reproduction à
l'intérieur de la race. Si les traits racialement distinctifs
sont perdus ou diminués par la reproduction à l'intérieur
du groupe, alors le groupe de population est à un niveau
de division trop large et trop général pour être
adéquatement défini comme une race. S'il est trop
étroit pour être défini comme une espèce,
puisqu'il n'inclut pas toutes ces populations capables de se reproduire
entre elles, alors il est à un niveau entre la race et
l'espèce, [niveau] qui sera ici désigné par
le terme sous-espèce.
La grande diversité existant dans l'espèce humaine
aujourd'hui est le produit de plus de 100.000 ans d'évolution
divergente. Beaucoup des détails spécifiques de
cette évolution ne sont pas encore parfaitement connus
ou compris, mais les restes fossiles indiquent que le genre Homo
s'est développé en Afrique, et qu'il y a 1,8 million
d'années (l'âge des restes fossiles trouvés
sur l'île de Java en Indonésie) il s'est répandu
dans la plus grande partie de l'Eurasie où il s'est développé
en une variété de populations archaïques régionales.
Les traces génétiques de l'ADN mitochondriale indiquent
que l'espèce humaine moderne vient aussi de l'Afrique sub-saharienne,
où elle commença à diverger en populations
différentes il y a 180.000 ans. Il y a 100.000 ans, certaines
de ces populations migrèrent hors de l'Afrique sub-saharienne
et se dispersèrent à travers l'Eurasie et l'Afrique
du Nord, remplaçant les populations archaïques régionales
(la manière de ce remplacement, et si oui ou non
et dans quelle proportion les humains modernes ont pu se
mélanger aux populations archaïques, sont sujets à
débat). Il y a 40.000 ans la différentiation ou
division de l'espèce humaine a produit cinq lignes ou sous-espèces
principales qui existent encore : les Congoïdes et Capoïdes
de l'Afrique sub-saharienne, les Australoïdes d'Inde, d'Asie
du Sud-Est, d'Indonésie, de Nouvelle-Guinée et d'Australie,
les Mongoloïdes d'Asie du Nord-Est (qui se répandirent
après 20.000 av. JC dans les Amériques et qui remplacèrent
les Australoïdes en Asie du Sud-Est et en Indonésie
après 4.000 av. J.C.) et les Caucasoïdes d'Europe,
d'Afrique du Nord et d'Asie de l'Ouest (qui remplacèrent
partiellement les Australoïdes en Inde après 8.000
av. J.C., les Mongoloïdes dans les Amériques après
1492, et les Australoïdes en Australie après 1788).
Ces sous-espèces se ramifièrent ou se divisèrent
à leur tour en races séparées, et ces races
se ramifièrent à leur tour en sous-races, faisant
partie du processus continu d'évolution divergente.
Les différentes races sont souvent communément définies
et nommées (souvent très inexactement) par la couleur
de la peau, mais comme ce système n'est basé que
sur une seule différence génétique, alors
que des milliers sont impliquées, il tend à déformer
la réalité de la race et des différences
raciales. Dans le système de classification raciale exposé
ci-dessous, les noms assignés aux diverses sous-espèces
et races sont, à quelques exceptions près, basés
sur les régions géographiques qui sont, ou étaient
supposés être, au centre ou proche de leur zone de
développement évolutionnaire et d'origine.
Exposé de la classification raciale humaine :
I. Sous-espèces capoïde ou khoïsanide d'Afrique
du Sud
A. Race khoïde (Hottentots)
B. Race sanoïde (Bushmen)
II. Sous-espèces congoïdes d'Afrique sub-saharienne
A. Race Africaine Centrale
1. Sous-race paléo-congoïde (le bassin du fleuve Congo
: Côte d'Ivoire, Ghana, Nigeria, Cameroun, Congo, Angola)
2. Sous-race soudanaise (Afrique de l'Ouest : Niger, Mali, Sénégal,
Guinée)
3. Sous-race nilotique (Sud-Soudan ; les anciens Nubiens faisaient
partie de cette sous-race)
4. Sous-race cafre ou bantoue (Afrique de l'Est et du Sud : Kenya,
Tanzanie, Mozambique, Natal)
B. Race bamboutoïde (Pygmées africains)
C. Race éthiopienne (Ethiopie, Somalie ; hybridée
avec des Caucasoïdes)
III. Sous-espèce caucasoïde ou europoïde
A. Race méditerranéenne
1. Sous-race ouest-méditerranéenne ou ibérique
(Espagne, Portugal, Corse, Sardaigne, et zones côtières
du Maroc et de Tunisie ; les peuples atlanto-méditerranéens
qui se répandirent sur la plus grande partie des régions
côtières atlantiques d'Europe pendant la période
mésolithique étaient une branche de cette sous-race)
2. Sous-race est-méditerranéenne ou pontique (côte
de l'Ukraine sur la Mer Noire, Roumanie et Bulgarie ; côtes
égéennes de Grèce et de Turquie)
3. Méditerranéens dinaricisés (Types résiduels
mélangés résultant du mélange de Méditerranéens
avec des Dinariques, des Alpins ou des Arménoïdes;
pas un type unifié, comporte une grande variation régionale
; élément prédominant [plus de 60%] en Sicile
et en Italie du Sud, élément principal en Turquie
[35%], élément important en Syrie de l'Ouest, au
Liban et en Italie centrale, fréquent en Italie du Nord.
L'ancienne sous-race méditerranéenne Cappadocienne
d'Anatolie fut dinaricisée durant l'Age du Bronze [second
millénaire av. J.C.] et est un contributeur majeur à
ce type dans la Turquie moderne)
4. Sous-race sud-méditerranéenne ou saharienne (prédominante
en Algérie et en Libye, importante au Maroc, en Tunisie
et en Egypte)
5. Sous-race orientaloïde ou arabique (prédominante
en Arabie, élément principal de l'Egypte à
la Syrie, principal au Nord-Soudan, important en Irak, élément
prédominant chez les Juifs d'Orient)
B. Race dinarique (prédominante dans les Balkans de l'Ouest
[Monts Dinariques] et l'Italie du Nord, importante dans la République
Tchèque, en Suisse de l'Est et du Sud, en Autriche de l'Ouest
et en Ukraine de l'Est)
C. Race alpine (élément prédominant au Luxembourg,
principal en Bavière et en Bohème, importante en
France, en Hongrie, en Suisse de l'Est et du Sud)
D. Race ladoguienne (nommée d'après le Lac Ladoga
; indigène en Russie; inclut la sous-race lapone de l'Europe
arctique)
E. Race nordique ou nord-européenne (diverses sous-races
dans les Iles Britanniques, en Scandinavie, aux Pays-Bas et en
Belgique; élément prédominant en Allemagne,
Suisse, Pologne, Finlande et dans les Etats Baltes ; majorité
en Autriche et en Russie; minorité en France, en République
Tchèque, en Slovaquie et en Hongrie ; décrite en
détail dans La race nordique)
F. Race arménoïde (élément prédominant
en Arménie, commun en Syrie, au Liban et en Irak du Nord,
élément principal chez les Juifs Ashkénazes)
G. Race touranienne (partiellement hybridée avec des Mongoloïdes;
élément prédominant au Kazakhstan.; commun
en Hongrie et en Turquie)
H. Race irano-afghane (prédominante en Iran et en Afghanistan,
élément principal en Irak, commun [25%] en Turquie)
I. Race indienne ou nord-indienne (Pakistan et Inde du Nord)
J. Race dravidienne (Inde, Bengladesh et Sri Lanka [Ceylan]; ancien
mélange stabilisé indien-veddoïde [australoïde])
IV. Sous-espèces australoïdes
A. Race veddoïde (population australoïde restante en
Inde centrale et du Sud)
B. Négritos (restes en Malaisie et aux Philippines)
C. Race mélanésienne (Nouvelle Guinée, Papouasie,
Iles Salomon)
D. Race australo-tasmanienne (Aborigènes australiens)
V. Sous-espèces mongoloïdes
A. Race asiatique du Nord-Est (diverses sous-races en Chine, en
Mandchourie, en Corée et au Japon)
B. Race asiatique du Sud-Est (diverses sous-races en Indochine,
en Thaïlande, en Malaisie, en Indonésie et aux Philippines,
certaines partiellement hybridées avec des Australoïdes)
C. Race micronésienne-polynésienne (hybridée
avec des Australoïdes)
D. Race aïnou (restes de la population aborigène au
Japon du Nord)
E. Race tungoïde (Mongolie et Sibérie, Eskimos)
F. Race amérindienne (Indiens Américains ; diverses
sous-races)
Dominant ou prédominant = majorité de plus de
60%
Majoritaire = majorité de 50-60%
Principal = 25-49% ; moins qu'une majorité, mais type racial
le plus nombreux
Important = minorité de 25-49% ; type racial pas le plus
nombreux
Commun = minorité de 5-25%
Mineur = minorité de moins de 5%
Les diverses races de l'espèce humaine décrites ci-dessus ont toutes leur propre territoire géographique qui a historiquement été le leur, dont on peut parler comme étant leur foyer racial, et qui est étroitement associé à la race qui l'habite. Entre la plupart de ces foyers exclusifs existent des zones de croisement des zones de contact entre les différents territoires raciaux. Ces zones-frontières raciales sont fréquemment des zones de contact interracial et de mélange où les races adjacentes se mélangent entre elles, créant des populations racialement mélangées ou hybrides de type intermédiaire appelé croisement racial. La race dravidienne de l'Inde et du Sri Lanka, créée par le mélange des populations locales caucasoïdes (Indiens ou Nord-Indiens) et australoïdes (Veddoïdes), et la race éthiopienne d'Ethiopie et de Somalie, créée par le mélange des races locales caucasoïdes (méditerranoïdes) et congoïdes, sont deux très anciens croisements raciaux vieux de peut-être 10.000 ans qui se sont stabilisés en races distinctes de type intermédiaire. Les croisements raciaux de formation plus récente, où les mélanges raciaux ne sont pas encore stabilisés, incluent les populations de nombreux pays d'Amérique Latine et des Caraïbes, qui ont été créées dans les 500 dernières années par le mélange de divers éléments caucasoïdes (principalement méditerranoïdes), congoïdes et amérindiens. La population du Mexique, par exemple, est environ 5% caucasoïde, 30% amérindienne et 65% Mestizo, le terme espagnol pour les personnes d'ascendance mélangée amérindienne-caucasoïde (le même terme est utilisé aux Philippines pour les personnes d'ascendance mélangée philippino-caucasoïde). La multiracialisation des populations d'Amérique du Nord et, plus récemment, d'Europe, a commencé à les transformer en croisements raciaux. Comme cela est discuté dans d'autres essais sur ce site, ce processus de transformation raciale finira par causer l'extinction effective ou la non-existence des types raciaux européens dans les zones affectées, à moins que des mesures préservationnistes adéquates ne soient prises pour l'empêcher.
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