Les cinéphiles qui ont vu Cats and Dogs lorsqu'il était joué dans les cinémas au moment de sa sortie durant l'été 2001 ont été soumis à une publicité, passée avant le générique, qui proclamait impudemment : « Réveillez-vous. La race est un mythe. Le racisme est réel. www.endracism.org ». L'effet était surréaliste. Comment cette fantaisie orwélienne pouvait-elle apparaître sur l'écran ? Des exemples de négation raciale circulent depuis un moment, mais principalement en marge, dans d'obscures publications inaccessibles aux masses. Mais un message si manifestement idéologique sur l'écran indique à quel point la propagande égalitaire anti-raciale est devenue si dominante, si acceptable, et si normale.
Les Américains racialement conscients d'ascendance nord-européenne, qui aiment leur race et souhaitent sa préservation, sont préoccupés depuis longtemps par ses perspectives de déclin. Mais les cinéphiles pouvaient très bien se dire que l'existence future de leur race semblait plus incertaine que jamais, car rien n'est plus certain que le but politique de la négation raciale soit de devenir une prophétie auto-réalisante et de causer la fin, sinon de toutes les races, très certainement des Nord-Européens. Comment notre existence raciale, la survie continue de notre parenté, que beaucoup souhaitent préserver, peut-elle si ouvertement niée dans cette mise en scène dominante ? Comment se peut-il qu'un public d'Américains moyens soit exposé à un message si puissant et si destructif ? Que l'objet de notre amour et de notre dévotion n'existe pas, ne soit pas réel, et qu'il ne soit pas acceptable de croire qu'il existe ? Comment cela est-il arrivé ?
La négation des réalités raciales n'est pas nouvelle. Elle a existé au moins depuis l'époque de Franz Boas. C'est le degré de négation qui est nouveau. La négation de la réalité raciale a pris de nombreuses formes durant le dernier siècle, augmentant en degré à mesure que la domination et le contrôle culturels de ses promoteurs se sont accrus. La négation des différences raciales a pris de nombreuses formes durant les années, spécialement la négation des différences mentales qui ne peuvent pas être vues mais seulement mesurées indirectement. Il y a eu une négation de la portée et de l'ampleur des différences raciales pour tenter de les minimiser, et une négation des conséquences des conditions multiraciales, en particulier du mélange racial et de ses effets racialement destructeurs. Maintenant, c'est la réalité et l'existence même des différentes races, de choses tangibles qui peuvent être vues, qui est niée.
Etant donné l'histoire de la croissance de la négation raciale durant le siècle précédent, nous aurions dû nous attendre à ce développement ; nous aurions dû le voir venir. Peut-être qu'en rencontrant pour la première fois l'affirmation que les races ne sont pas réelles, nous l'avons rejetée avec incrédulité comme une stupidité indigne de préoccupation ou de réponse, comme une chose que personne ne prendrait au sérieux. Mais nous aurions dû la prendre au sérieux. Elle approche maintenant d'une position de domination politiquement correcte dans les médias et les académies, avec tout ce que cela signifie. La croyance même en l'existence de races différentes est aujourd'hui identifiée au racisme dans certains quartiers, et ensuite la logique et la causation réductionnistes la relient finalement au génocide. Dans de tels quartiers ils justifient leur argument en affirmant explicitement que la réalité de la race doit être niée afin de mettre fin au racisme et d'empêcher le génocide (1). (Un grand nombre de discussions, débats ou arguments concernant la réalité de la race est publié sur mon site web [www.racialcompact.com] et a paru là depuis qu'il a été lancé sur l'internet au début de 1998. Certains de mes débats avec des négateurs de la race ont été des échanges directs, coup sur coup. Ceux-ci se sont généralement terminés par l'aveu explicite de la part de mes antagonistes qu'ils soutenaient, et même désiraient, l'extinction des Nord-Européens. (2).)
Les arguments utilisés pour nier la réalité de la race suivent généralement le même modèle. Les négateurs de la race commencent par tenter de discréditer les méthodes traditionnelles de classification raciale, spécialement la typologie raciale basée sur le phénotype ou l'apparence physique, la combinaison de tous les traits physiques de quelqu'un. Ensuite ils tentent de discréditer les divisions raciales traditionnelles qui sont basées sur ces méthodes de classification.
Le but de cela est de créer la confusion, l'ambiguïté et le doute concernant la race. Une définition de la race est généralement absente de l'argumentation des négateurs de la race, soit parce qu'ils ne savent pas comment la définir, soit parce qu'ils savent qu'une définition précise de la race réfuterait leur argumentation. Finalement, quand ils ont créé suffisamment de confusion et d'ambiguïté, ils rejettent simplement le concept de race. Mais si vous creusez la question il devient généralement clair que la vraie question pour eux n'est pas celle des méthodes de classification raciale, bi même celle de la réalité des races le centre apparent de leur argumentation mais la question de la préservation raciale, et particulièrement la question de la préservation de la race nord-européenne. Donc quand tout est dit et pesé, la question ultime est la même pour les négateurs de la race et pour les préservationnistes raciaux : la continuation de l'existence des Nord-européens et de leurs types raciaux. La différence est que les négateurs sont opposés à la continuation de l'existence de la distinction raciale qui différencie les Nord-européens des autres populations, alors que les préservationnistes favorisent la survie de ces traits et qualités raciaux.
Une tactique habituelle des négateurs de la race est de demander des preuves de la réalité de la race, sans établir une norme de ce qui constitue une preuve suffisante. Leurs normes de preuves sont artificiellement trop élevées. Ceci est relié à leur évitement d'une définition objective ou précise de la race. Les preuves commencent par une définition précise, et c'est la clé pour une réfutation effective des arguments des négateurs de la race. Donc, quelle est cette chose appelée race ?
Pour commencer par le commencement, le mot race se réfère aux différentes populations géographiques de l'humanité qui partagent une ascendance commune et qui peuvent être distinguées les unes des autres par une combinaison héritée de traits morphologiques, c'est-à-dire par une apparence physique génétiquement déterminée ou phénotypes. La race se réfère donc à la fois aux populations et aux phénotypes qui sont associés avec ces populations et par lesquels elles sont identifiées. Ces populations et phénotypes existaient depuis plusieurs milliers d'années avant que le mot race ne devienne le terme commun pour les désigner. La définition du mot race est donc, très simplement, ces populations et les phénotypes auxquels il se réfère.
Il est vrai que c'est de la logique circulaire, comme la formule de Gertrude Stein « une rose est une rose est une rose ». Mais l'existence et la réalité des choses qui sont tangibles, matérielles, physiques et visibles, qui sont clairement évidentes pour les sens fonctionnels, sont normalement acceptées comme évidentes en soi et ne requérant pas de preuve externe, puisque la preuve est contenue dans ces choses elles-mêmes. Les gens raisonnables ne contestent pas leur existence et ne demandent pas de preuve de leur réalité qui se baserait sur une norme arbitraire. Si l'existence d'une chose est niée, et que l'objet est présenté, son existence doit être admise. Nier l'existence de quelque chose qui est visiblement présent est déraisonnable. L'objet qui est écarté par les négateurs de la race la réalité de la race est visiblement présent en abondance, à la fois pour les individus et pour les populations, bien au-delà de toute demande raisonnable.
LA PREUVE DE LA REALITE RACIALE
Mais si davantage de preuves sont requises, quelle sorte de preuves est-elle requise pour la réalité de la race ? Quelle norme de preuve est-il raisonnable ? Si la preuve concrète n'est pas suffisante, et si la preuve de la logique abstraite est requise, la meilleure preuve est une convergence de preuves des preuves venant de séries d'indications différentes et indépendantes qui convergent en appui mutuel et consistant pour la même conclusion. Certaines des séries convergentes de preuves consistant à appuyer mutuellement la réalité de la race incluent : la géographie, l'histoire, le phénotype, la théorie de l'évolution, la médecine légale et, plus récemment, les études génétiques.
Les races sont géographiquement réelles. En tant que telles, les races constituent des populations géographiques avec une distribution géographique. Ces populations distinctes étaient, jusqu'à des temps récents, géographiquement séparées des autres races. Leur origine et leur existence sont liées à une région géographique spécifique qu'elles ont historiquement habitée. Le lien entre la géographie et la race apparaît dans la forte corrélation entre le degré de différence raciale et la distance géographique séparant les habitants originels des différentes races. Le lien géographique est important parce que les races sont des populations qui se reproduisent et qui forment un réservoir génétique commun et un environnement racial stable pendant de nombreuses générations, et avant les progrès des transports modernes cela requérait que le foyer natif de la race soit géographiquement limité et compact. La continuation ou la préservation de la race requérait aussi la séparation génétique d'avec les autres éléments raciaux pour empêcher le mélange ou le remplacement qui altérerait ou détruirait la race. Cela signifiait que les autres races devaient être exclues de sa zone géographique, que la possession de son foyer natif devait être racialement exclusive. Cette exclusivité ne devait pas forcément être totale ou absolue, mais suffisante pour créer et préserver la race.
Bien que des migrations d'éléments raciaux en-dehors de leurs foyers originels se soient produites, particulièrement durant les cinq derniers siècles, se mélangeant souvent avec d'autres races et créant des formes intermédiaires, les populations qui restent dans les foyers originels peuvent servir de groupes de contrôle ou de normes de référence pour la classification et l'étude des races. Les populations émigrantes qui étendirent la portée géographique de leur race à de nouveaux habitats, et qui restreignirent leur reproduction à l'intérieur de leur propre race, continuèrent à être de la même race que celles restées dans les foyers d'origine, et dans leur héritage racial et leurs origines raciales elles continuèrent à être identifiées à ces foyers d'origine. Ces populations géographiques sont des faits sur le terrain, existant dans le monde réel, dans leur propre partie du monde exactement là où l'on s'attendrait à les trouver, pour qu'on puisse tous les voir là. Ce sont des faits qui peuvent être observés et mesurés comme faisant partie de la réalité objective, marqués par leurs caractéristiques physiques distinctives ou phénotype racial. Le magazine National Geographic, dans sa longue histoire de publications, a publié d'innombrables articles qui prouvent irréfutablement le lien, la distribution et la réalité géographiques de la race.
Les races sont historiquement réelles. Les principales races d'Europe, d'Asie et d'Afrique que nous connaissons aujourd'hui, ainsi que beaucoup de leurs sous-races [subdivisions], sont prouvées dans les archives historiques écrites depuis les débuts de ces dernières il y a plus de trois mille ans, et dans les archives artistiques encore un millier d'années plus tôt. Les races des Amériques, d'Australie et du Pacifique sont entrées dans les archives historiques à partir du moment où les premiers explorateurs occidentaux les ont découvertes. Depuis l'aube de l'histoire jusqu'à notre époque, l'existence, la localisation géographique, les traits physiques distinctifs et les mouvements de ces races ont été une partie reconnaissable des archives historiques. Les races sont aussi préhistoriquement réelles. Les préhistoriens, anthropologues et archéologues modernes ont reculé notre connaissance des races modernes jusqu'à des milliers d'années avant les débuts de l'histoire écrite. Il est clair que les races que nous connaissons aujourd'hui ont existé, dans un continuum de générations, depuis plusieurs milliers d'années.
Les races sont phénotypiquement réelles. Le phénotype, la partie physique de la race que nous pouvons voir, et dont nous devons admettre que la race est au moins cela sinon plus, est tangiblement et visiblement réel. Il est aussi la preuve visible que la race est héritée, qu'elle est génétiquement transmise de génération en génération avec une cohérence et une prédictibilité scientifiques. Cela signifie que la race est génétiquement réelle. Elle est déterminée par des combinaisons différentes de gènes, d'où des traits physiques qui sont polygéniques en nature, et donc la race est en fait génétiquement déterminée, ce qui signifie que la race est un phénomène biologique, et qu'elle est biologiquement réelle.
Le phénotype les traits d'apparence physique génétiquement hérités et déterminés est aussi l'identifiant racial définitif utilisé pour classer les races. Chaque race a une certaine quantité de phénotypes différents, ou éléments raciaux, dans sa population. Mais il n'y a pas de chevauchement phénotypique entre les principales divisions raciales de l'humanité. Si vous prenez trois groupes de cent individus, venant du Nigeria, d'Angleterre et de Chine chaque groupe étant représentatif de sa population native l'observateur moyen n'aura aucune difficulté à identifier chaque groupe. Même s'ils étaient tous mélangés, l'observateur moyen n'aurait aucune difficulté à les replacer par le phénotype dans leur catégorie raciale correcte avec une exactitude complète. Cependant, le chevauchement phénotypique existe souvent entre les subdivisions raciales à l'intérieur des principales divisions raciales. Si vous prenez trois groupes de cent individus venant de trois subdivisions différentes de la division raciale caucasienne, représentés par l'Angleterre, l'Italie et la Syrie chaque groupe étant représentatif de sa population native l'observateur moyen n'aura toujours aucune difficulté à identifier chaque groupe. Bien qu'il y aurait un certain chevauchement phénotypique entre les groupes anglais et italien, et entre les groupes italien et syrien, chaque groupe contiendrait une grande majorité de phénotypes qui seraient rares ou absents dans les autres groupes. Si les groupes étaient mélangés, l'observateur moyen ne parviendrait probablement pas à séparer exactement les Anglais des Italiens, ou les Italiens des Syriens, mais il est probable qu'il parviendrait exactement à séparer les Anglais des Syriens. Le phénotype prouve que la race est réelle. Mais il illustre aussi dans une certaine mesure que la race est un continuum, marqué par de nombreuses subdivisions avec de subtiles graduations de changement racial qui sont corrélées à la distance spatiale et temporelle.
La théorie évolutionnaire appuie la réalité des races humaines. Elle suppose que l'étendue de variation biologique à l'intérieur d'une espèce est corrélée à l'étendue de sa distribution géographique. Plus sa distribution géographique est grande, plus le degré de variation biologique est grand.
La race est une variation biologique. L'espèce humaine a eu une distribution géographique hémisphérique pendant peut-être 100.000 ans et une distribution géographique mondiale depuis au moins 10.000 ans, et exhibe le haut degré de variation biologique que la théorie évolutionnaire attend et prédit à partir d'une population si largement distribuée. La variation biologique est la force directrice derrière l'évolution et la création d'espèces nouvelles. Elle est causée par la séparation des populations par la distance ou les barrières géographiques. Si l'espèce humaine, avec son niveau inégalé de séparation géographique des populations, n'exhibait pas un degré hautement développé de variation biologique, se développant ou évoluant en races différentes, cela serait incohérent avec la théorie de l'évolution. Il y a une progression logique vers l'évolution. Elle est continue, du phylum à la classe, à l'ordre, à la famille, au genre, à l'espèce et à la race. Elle ne s'arrête pas aux espèces. Elle crée des races, qui évoluent à leur tour en nouvelles espèces. La race est le stade d'évolution d'une population avant qu'elle devienne une espèce différente. Le nier, c'est prétendre que l'évolution a cessé.
La médecine légale appuie la réalité des races humaines. Les scientifiques peuvent identifier la race à partir des restes de squelettes avec une grande précision, comme l'explique le scientifique George Gill :
La « réalité de la race » dépend plus de la définition de la réalité que de la définition de la race. Si nous choisissons d'accepter le système de taxonomie raciale que les anthropologues physiques ont traditionnellement établi races principales : noire, blanche, etc. alors on peut classer les squelettes humains aussi bien qu'on peut classer les humains vivants. Les traits osseux du nez, de la bouche, du fémur et du crâne sont tout aussi révélateurs pour un bon ostéologue que la couleur de la peau, la texture des cheveux, la forme du nez et des lèvres peuvent l'être pour l'observateur attentif de l'humanité vivante. J'ai pu me prouver à moi-même à travers les années, dans des affaires légales réelles, que je peux évaluer la race plus exactement à partir de restes de squelettes qu'en regardant les gens vivants se trouvant devant moi. Ainsi nous autres spécialistes de médecine légale, savons que le squelette reflète la race, qu'elle soit « réelle » ou pas, tout aussi bien sinon mieux que le font les tissus mous superficiels. L'idée que la race ne va « pas plus loin que la peau » n'est simplement pas vraie, comme l'affirmera tout spécialiste expérimenté de médecine légale. (3)
La génétique est la plus récente branche de preuve pour appuyer la réalité de la race. Ironiquement, la génétique est la série d'indications que favorisent les négateurs de la race en fait, c'est souvent la seule qu'ils acceptent, croyant qu'elle appuiera leur affirmation selon laquelle la race est seulement une « construction sociale ». En réalité, et en dépit des protestations obligatoires de généticiens dans la presse populaire, la race est un trait physique génétiquement déterminé. Il y a aussi de nombreuses différences génétiques entre les races dans les gènes qui ne sont pas déterminatifs de la race. Il existe d'innombrables études génétiques qui montrent les différences raciales dans la fréquence de séquences génétiques et de traits génétiques différents, bien que le mot « population » soit communément utilisé comme un euphémisme à la place de « race ».
La raison principale pour laquelle les négateurs de la race affirment que la génétique prouve que la race n'est pas réelle est le pourcentage de différences génétiques entre les races. Ils affirment que les pourcentages sont trop faibles pour constituer des races différentes, ou pour le dire d'une autre manière, que l'ampleur de variations parmi l'Homo Sapiens est trop faible pour justifier légitimement le concept de race. Ils ne disent pas quel est la norme utilisée pour déterminer le pourcentage de différence génétique requis pour constituer une race, ils disent seulement que les différences entre les populations humaines sont trop faibles. Mais aucun pourcentage de différence génétique n'a jamais été défini comme base pour la classification raciale. En effet, jusqu'aux deux dernières décennies, les scientifiques et les profanes avaient une faible idée du pourcentage de différence génétique existant entre les races ou entre les espèces. Lorsqu'ils avancent cet argument, les négateurs de la race ne mentionnent pas que la différence génétique entre les humains et les chimpanzés est aussi beaucoup plus faible que ce à quoi le profane pourrait s'attendre. La plupart des études génétiques montrent une différence génétique de 1,5% à 1,7% entre les humains et les chimpanzés, le chiffre le plus communément cité étant 1,6% (4). Mais celui-ci représente bien plus que la différence génétique entre les races. Il est supérieur à la différence génétique entre les espèces, et encore plus élevé que la différence génétique entre les genres. Il représente la différence génétique entre les familles taxonomiques, parce que les humains et les chimpanzés sont dans des familles biologiques différentes. Les humains sont dans la famille des hominidés (dont ils sont la seule espèce survivante) et les chimpanzés, les plus proches parents vivants de notre espèce, sont dans la famille des pongidés.
Quels sont les pourcentages de différences génétiques entre les races humaines ? Peut-être la meilleure étude récente sur ce sujet est-elle celle de Nei et Arun K. Roychoudhury (1993) (5). Nei et Roychoudhury utilisent une méthodologie différente de celle de L.L. Cavalli-Sforza et d'autres (1988), qui, de l'avis des premiers, « ont introduit des modèles de ramification déraisonnables dans les arbres phylogénétiques », une allusion au classement des Asiatiques du Nord-Est dans le même groupe que les Caucasiens par Cavalli-Sforza, plutôt que dans celui des Chinois du Sud et des Asiatiques du Sud-Est. Les pourcentages suivants des différences génétiques entre populations et l'arbre phylogénétique ci-dessous sont tirés de leur étude :
Pourcentage de distance génétique entre les populations anglaise, japonaise et nigérienne [d'une part] et les autres populations [d'autre part] par Nei et Roychoudhury (1993)
Si l'on pouvait visualiser spatialement la première colonne de l'échelle ci-dessus, avec un Allemand étant à une distance de 20 pieds d'un Anglais, un Finnois serait à une distance de 50 pieds, un Italien à 70 pieds, un Indien du Nord à 200 pieds, un Japonais à 610 pieds, un Indien d'Amérique du Nord à 760 pieds, un Nigérien à 1.330 pieds, et un chimpanzé à 16.000 pieds. Le plus grand pourcentage de différence génétique est de 0,176% entre les Nigériens et les Aborigènes d'Australie. Cela fait 11% de la différence génétique de 1,6% entre humains et chimpanzés, des familles biologiques différentes dont les lignes ancestrales sont supposées s'être séparées il y a 6-7 millions d'années (6). Il faut aussi noter que pour les Anglais tout comme pour les Japonais, représentant les Européens et les Asiatiques du Nord-Est, le plus grand pourcentage de différence génétique est avec les Nigériens, et que le degré de cette différence, 1,33% pour les Anglais et 1,49% pour les Japonais, est très similaire (la première séparation dans les lignes ancestrales des races humaines, celle entre les Africains et les non-Africains, est supposée s'être produite il y a 180-270 milliers d'années). En comparaison, le degré de différence des Anglais et des Japonais avec la population aborigène australienne, 1,22% pour les Anglais et 0,62% pour les Japonais, est très différente, la différence Anglais-Australoïdes étant deux fois plus grande que la différence Japonais-Australoïdes.
L'arbre phylogénétique ci-dessous représentatif de 26 populations humaines, par Nei et Roychoudhury (1993), qui inclut les principales divisions de populations suivantes : Africains (A), Caucasiens (B), Grands Asiatiques (C), Amérindiens (D), et Australo-papouasiens (E) illustre géographiquement les relations génétiques entre les différentes populations.
Cet arbre phylogénétique montre que les études
génétiques groupent les populations de l'humanité
en super-groupes et en groupes qui sont cohérents avec
les divisions et subdivisions raciales traditionnelles, apportant
la preuve génétique que la race est réelle
et que les classifications raciales traditionnelles sont bien
exactes. Les déclarations politiques faites par des généticiens
à la presse populaire, disant que leurs études montrent
que « la race n'est pas un concept scientifique valide »
ou que « la race n'a pas de base génétique
ou scientifique », doivent être jugées dans
ce contexte et dans cette perspective. De telles déclarations
politiquement motivées jettent le doute sur l'intégrité
des procédures scientifiques pratiquées par ces
généticiens, tendant à discréditer
leurs études.
L'effet cumulatif de ces séries de preuves convergentes devrait établir au-delà de tout doute raisonnable que la race est réelle. Mais avant d'arriver à la conclusion que les affirmations des négateurs de la race sont au-delà de la raison, certains de leurs arguments les plus communs doivent être examinés.
ARGUMENTS POUR LA NEGATION DE LA RACE
1. L'argument de l'ignorance génétique. Nous ne savons pas encore quels sont les gènes ou les groupes de gènes spécifiques qui déterminent réellement les différences raciales, ou comment ils le font. Les négateurs de la race utilisent cela pour prétendre que la race n'est pas génétiquement réelle. Pourtant personne ne peut raisonnablement contester que la race consiste en traits hérités, transmis par les parents à leurs enfants, et que les traits hérités doivent être des traits génétiques, puisque le seul moyen connu de la science pour transmettre des traits hérités est celui des gènes. De même, nous ne savons pas encore quels sont les gènes impliqués dans de nombreuses maladies connues pour être héritées, néanmoins comme nous savons qu'elles sont héritées nous savons qu'elles sont causées par des gènes, et la recherche de ces gènes est le but de la plupart des études génétiques.
2. L'argument de la minimisation. Cet argument admet la réalité des différences entre les populations, à la fois physiques et génétiques, mais prétend qu'elles n'ont aucune importance et qu'elles ne sont pas assez grandes pour être qualifiées de différences raciales. Cet argument tente de faire de la question de la réalité raciale un jugement de valeur subjectif, et minimise la variation biologique qui existe entre les diverses populations humaines comme n'ayant aucune valeur ni importance, et n'étant pas un sujet légitime de préoccupation, d'amour ou de dévotion. Fondamentalement, cet argument affirme que les seuls traits humains qui sont valables ou importants sont les traits partagés par tous les humains, alors que les différences raciales, les traits qui sont particuliers à certaines populations et qui ne sont pas partagés par toutes, sont sans importance.
3. L'argument par la fausse définition. Les négateurs de la race confondent souvent race et espèce dans leur argumentation, choisissant pour la race une norme qui est la même que la norme pour l'espèce, appliquant implicitement la définition de l'espèce à la race. Comme l'humanité forme une seule espèce, sans espèces humaines différentes, ils affirment ensuite par fausse définition qu'il n'existe pas de races humaines différentes, définissant la race comme inexistante. La différence distinctive entre espèce et race, bien sûr, est que les espèces ne peuvent pas se reproduire entre elles, ou du moins pas dans des conditions naturelles, alors que les races le peuvent et le font lorsqu'il y a un contact étendu entre elles. Les négateurs de la race utilisent à tort l'existence d'individus et de populations hybrides ou racialement mélangés, ce qui prouve que les différentes populations humaines se reproduisent entre elles et sont donc des races et non pas des espèces, comme une preuve que tous les humains forment une seule race, pas des races différentes, confondant race et espèce et affirmant que la race est inexistante.
Comme le dit une étude récente :
Si le biologique est défini comme génétique, alors une décennie ou plus de recherche génétique des populations a prouvé la différenciation génétique, et donc biologique, parmi les races Il est difficile de concevoir une définition du « biologique » qui ne conduise pas à la différenciation raciale, sauf peut-être une définition aussi extrême que la formation des espèces (7).
Un exemple de la tentative de définir la race comme inexistante peut être trouvé sur le site web du Palomar College (8). Il établit un épouvantail, une fausse définition et une norme très étroite et très stricte de ce qui constitue la race, l'utilisant pour nier la réalité de la race pour le motif que la variation humaine ne coïncide pas avec cette norme ou cette définition :
La plupart des anthropologues physiques reconnaîtraient que cette variation humaine n'est maintenant plus suffisante pour justifier une définition des races, variétés ou sous-espèces biologiques séparées. Cependant, elle l'était très probablement dans notre passé préhistorique.
Mais si les races ont existé, ont été réelles, dans notre passé préhistorique, quand ont-elles cessé d'exister et d'être réelles ? Que leur est-il arrivé qui a fait qu'elles n'ont plus été des races ? Comment cela est-il arrivé ? Quand cela est-il arrivé ? Quel est la norme qui détermine quel est le degré de variation humaine suffisant pour justifier la définition de races biologiques séparées, pour que la race soit considérée comme réelle ? Quand cette norme a-t-elle été créée, et qui l'a créée ? Quelle norme a-t-elle remplacé, s'il en existait une autre ? La réalité de la race a-t-elle jamais dépendu d'une norme établie par des anthropologues physiques ? Le terme « race » n'était-il pas communément utilisé pour se référer à des populations et à des individus identifiables, et ne définissait-il pas ces populations et individus identifiables, longtemps avant que l'anthropologie existe ? Et si l'usage du terme race pour se référer à des populations et à des individus identifiables a précédé l'existence de l'anthropologie, comment et pourquoi les anthropologues ont-ils pris la liberté de la définir comme inexistante ? Ou n'est-ce pas plutôt que les races n'ont pas changé, mais que la composition raciale des universités a changé, que les salles de classe, les organisations d'étudiants, les campus et les facultés ont été multiracialisés, et que cet environnement multiracial suggère que toute expression de conscience et d'identité raciales, et même la conviction que la race est réelle, est racialement diviseuse ? Donc, comment la race doit-elle être définie ?
Comme pour d'autres choses qui existent, une définition exacte de la race est une définition qui la décrit telle qu'elle est, telle qu'elle est véritablement et telle qu'elle existe réellement. Les définitions de la race dans les encyclopédies et les dictionnaires modernes décrivent quelque chose de réel, la race telle qu'elle est réellement, et selon ces définitions la race existe et est réelle. La race en tant que concept biologique et la réalité des différences raciales n'ont pas changé. Cependant, les définitions de la race ont changé, car les négateurs de la race ont tenté de changer la définition de la race pour la définir comme inexistante. Si la race existe telle que décrite dans les définitions ordinaires antérieures, mais n'existe pas telle que décrite dans la nouvelle définition des négateurs de la race, cela signifie que la nouvelle définition est fausse et qu'elle ne décrit pas correctement la réalité de la race, et non que la race n'est pas réelle. Une définition exacte décrit une chose telle qu'elle est, pas par un concept abstrait de ce qu'elle devrait être, suivi par une déclaration selon quoi elle n'existe pas si elle ne cadre pas avec ce concept. La race n'est pas un concept abstrait, mais quelque chose qui est tangiblement et visiblement réel. Les négateurs de la race qui disent qu'ils ne croient pas dans le « concept » de race savent cela. Ils savent à quoi se réfère l'usage commun du terme race, quelle est la définition exacte de la race, et ce que nous voulons dire quand nous nous référons à la race. Ils savent de quoi nous parlons, et ils savent que cela est réel. Mais les négateurs de la race sont beaucoup trop habiles. Ils savent que la seule manière de nier la race est de créer une fausse définition selon laquelle la race n'existe pas, et avec laquelle ils peuvent prétendre réfuter la réalité de la race. Les raisons de leur succès avec cet argument, comme leurs motifs, sont politiques, pas scientifiques.
Il faut remarquer que les spécialistes égalitaires qui promeuvent ces quasi-définitions politiques, qui nient la réalité de la race, évitent généralement toute discussion des arguments avancés par John R. Baker dans son livre fondamental de 1974, Race, lorsqu'ils rejettent le concept conventionnel de la race. En termes d'établissement du sens de « race », le livre offre un traitement définitif du sujet. Baker, qui figurait dans les principales autorités biologiques en tant que cytologiste à l'Université d'Oxford et en tant que Compagnon de la Société Royale, releva plusieurs faussetés conçues par les égalitaristes dans leur tentative de saper les réalités biologiques de la race, faussetés qu'il pulvérisa minutieusement en 625 pages de texte, justifié par 1181 références à la littérature scientifique. Un des points important abordés par Baker réfute la fausse définition selon laquelle la notion d'« intermédiaires » invalide la légitimité de la race :
On prétend parfois que l'existence d'intermédiaires rend la race irréelle. Il y a à peine besoin de souligner, cependant, que dans d'autres matières personne ne conteste la réalité des catégories entre lesquelles existent des intermédiaires. Il existe de nombreuses nuances, par exemple, entre le vert et le bleu, mais personne ne nie que ces mots doivent être utilisés. De la même manière, l'existence des jeunes et des hermaphrodites humains ne conduit personne à rejeter l'usage des mots « garçon », « homme » et « femme ». Il est particulièrement injustifiable de citer les intermédiaires comme contredisant la réalité des races, par l'existence des intermédiaires est l'un des caractères distinctifs de la race : s'il n'y a pas d'intermédiaires, il n'y a pas de races. (9)
4. Argument par fausses méthodes d'identification et de classification raciales. Similaire à celui du numéro trois ci-dessus, cet argument prétend que les méthodes typologiques traditionnelles d'identification et de classification raciales basées sur les traits morphologiques ou phénotype sont arbitraires. Il soutient que d'autres méthodes donneraient des résultats très différents, classant les différents types tels que mesurés par ces méthodes différentes en groupements qui diffèrent des groupements raciaux traditionnels, les rendant insensés et arbitraires. Les groupes sanguins, par exemple, ne sont pas distribués d'une manière qui coïncide avec les groupements raciaux traditionnels. Mais les méthodes traditionnelles de classification raciale par la typologie raciale ou par l'apparence physique ne sont pas arbitraires, pour la simple raison qu'ils sont basés sur, reflètent, et cadrent avec les populations géographiques réelles de l'humanité, telles qu'elles existent réellement, et donc avec une réalité objectivement observable et vérifiable. Ce sont les traits qui diffèrent entre ces populations réelles, les différences en apparence physique par lesquelles ces populations peuvent être exactement distinguées et identifiées, et par lesquelles elles sont et ont été exactement distinguées et identifiées depuis des millénaires. Les traits qui ne sont pas distribués d'une manière qui coïncide avec les populations réelles ne sont pas des méthodes valides d'identification raciale dans le monde réel.
5. L'argument du continuum et de la différenciation. C'est un argument basé sur la complexité réelle de la race, qui réfute les nombreux concepts et systèmes simplistes de classification raciale et qui prétend ensuite qu'il a réfuté la réalité de la race. La réalité est que la race est un complexe de multiples continuums avec des gradations de types intermédiaires, hybrides ou mélangés (appelés types intermédiaires [clines].) entre les types distincts aux extrémités des continuums. Ces types intermédiaires sont géographiquement distribués dans les zones de transition [clinal zones] situées entre les régions habitées par les types distincts. Les négateurs de la race prétendent que ces types intermédiaires, mélangés ou de transition rendent impossible une différenciation exacte entre les races. Les lignes de division entre les races dans les étendues intermédiaires des continuums raciaux sont souvent difficiles à déterminer et semblent arbitraires, particulièrement dans les systèmes de classification simplistes qui tentent de classer toutes les populations humaines dans quelques races principales. Les négateurs de race exploitent cette complexité pour discréditer l'exactitude des systèmes de classification simplistes et pour ensuite nier la réalité de la complexité. Mais l'existence de continuums ou de types intermédiaires, plutôt que de réfuter la réalité de la race, est en fait une caractéristique de la race, et sert donc de preuve de sa réalité. S'il n'y avait pas de continuums ou de types intermédiaires, il n'y aurait pas de formes intermédiaires, pas de mélange entre les races, et l'humanité serait divisée en espèces, et non en races. Sans races différentes, il ne pourrait pas y avoir de continuums ou de types intermédiaires entre elles, donc l'existence de continuums est une preuve de l'existence des races. Comme cela est dit dans l'étude citée plus haut, « L'existence de tels groupes intermédiaires ne devrait pas éclipser le fait que la plus grande structure génétique qui existe dans la population humaine survient au niveau racial » (10).
6. L'argument de l'obsolescence scientifique. Cet argument prétend que l'idée de race est basée sur un concept de science erroné, dépassé et obsolète datant d'une époque antérieure, c'est-à-dire de l'« époque coloniale », du 17ème siècle, etc. En d'autres mots, il dit que la croyance en la race est arriérée, dépassée, et « vieux jeu », un adjectif qui a un grand poids pour ceux qui aiment se voir comme des penseurs avancés. Il cite des croyances ou mythes erronés sur la race datant de ces époques antérieures, qui sont aisément réfutées comme preuve de cette affirmation, et en réfutant ces fausses croyances il prétend qu'il a réfuté la réalité de la race. Toutes les branches de la science ont souffert de nombreuses fausses croyances et théories durant son histoire. La physique, la biologie et la médecine commencèrent du 6ème au 4ème siècles avant J.C., et chacune a eu une longue histoire de fausses croyances et théories, et pourtant ces sciences sont encore considérées comme valides. Elles ne sont pas considérées comme obsolètes à cause de fausses croyances rejetées.
7. L'argument de la construction sociale ou politique. Les négateurs de la race et les déconstructionnistes affirment souvent que la race est une construction sociale ou politique qui n'a pas de réalité biologique ou génétique. Cet argument inclut l'affirmation que l'idée de race a été créée en Amérique, avec le premier contact des Européens avec d'autres grandes races et avec les siècles postérieurs de leur inégalité politique et sociale, et que l'Amérique a exporté son concept de race vers l'Europe et dans le reste du monde. Cet argument (qui partage certaines idées avec le numéro six ci-dessus) trouve souvent crédit auprès de biologistes et de généticiens qui tentent d'éviter les controverses politiques entourant la race en prétendant qu'elle n'est pas appropriée pour leurs études. Mais il s'effondre lorsqu'il est confronté à une définition exacte de la race et avec la preuve la plus basique de réalité raciale. L'ironie est que l'idée selon laquelle la race n'est pas réelle a elle-même été construite socialement et politiquement durant les dernières décennies.
L'article de journal suivant de 1996 montre ce processus de construction et beaucoup des arguments et des techniques de négation de la race, avec mes commentaires entre crochets (11) :
WASHINGTON - Grâce à des avancées spectaculaires
en biologie moléculaire et en génétique,
la plupart des scientifiques rejettent maintenant le concept de
race comme moyen valide de diviser les êtres humains en
groupes séparés. [Quelles avancées «
spectaculaires » ? Les études génétiques
montrent la validité de la race, et d'autres sources affirment
que « la plupart des scientifiques » acceptent cette
validité.] Contrairement à l'opinion générale
du public, les chercheurs ne croient plus que les races soient
des catégories biologiques distinctes créées
par des différences de gènes que les gens héritent
de leurs parents [Argument numéro un plus haut. Pas héritées
des parents ? Aucun scientifique n'est cité comme disant
cela.] « La race n'a aucune réalité biologique
basique », a dit Jonathan Marks, un biologiste de l'Université
de Yale Au contraire, une majorité de biologistes et d'anthropologues,
se basant sur une masse de preuves accumulées depuis les
années 70, a conclu que la race est un concept social,
culturel et politique largement basé sur des apparences
superficielles. « Au sens social, la race est une réalité.
Au sens scientifique, elle ne l'est pas », a dit Michael
Omi, un spécialiste en études ethniques à
l'Université de Berkeley en Californie. [Argument numéro
sept]
L'idée que les races ne sont pas les produits des gènes
humains peut sembler contredire le sens commun. [Les races pas
les produits des gènes ? Comme pour la déclaration
similaire plus haut, aucun scientifique n'est cité comme
disant cela.] « Le citoyen moyen réagit avec une
franche incrédulité quand on lui dit que la race
n'existe pas », a dit C. Loring Brace, un anthropologue
de l'Université du Michigan. « Le profane sceptique
secouera la tête et considérera cela comme une preuve
de plus de la sottise innée de ceux qui se nomment eux-mêmes
des intellectuels. » [L'argument préemptif, numéro
13 plus bas]
La nouvelle compréhension de la race se base sur des travaux
dans de nombreux domaines. « De vastes données nouvelles
en biologie humaine, préhistoire et paléontologie
ont complètement remanié les notions traditionnelles
», dit Salomon Katz, un anthropologue de l'Université
de Pennsylvanie. C'est un revirement par rapport aux dogmes prévalant
du 19ème siècle et surtout du 20ème. Durant
cette période la plupart des scientifiques pensaient que
les humains pouvaient être classés en quelques types
raciaux hérités [L'argument d'obsolescence, numéro
six plus haut] Pas plus tard qu'en 1985, les anthropologues se
divisaient à 50-50 quand l'un des leurs, Leonard Lieberman
de l'Université du Michigan Central, demandait dans une
étude s'ils croyaient en l'existence de races biologiques
séparées Comme signe du changement, Libermann a
dit que la plupart des manuels d'anthropologie publiés
dans cette décennie [les années 90] a cessé
d'enseigner le concept de race biologique Le concept révisé
de race reflète de récents travaux scientifiques
sur l'ADN « Nous commençons à avoir de bonnes
données au niveau de l'ADN », a dit un généticien
de Yale, Kenneth Kidd [qui] « soutient le concept que vous
ne pouvez pas tracer des frontières autour des races »
[L'argument du continuum, numéro cinq plus haut]
La tradition idéologique marxiste est la source logique de cette affirmation. Cette filière marxiste reçoit un appui ultérieur de la dynamique ethnique de la négation raciale. Les victimes de la négation raciale sont les races européennes, et spécialement la race nord-européenne [nordique]. Ce sont elles, et seulement elles, qui sont réellement menacées de dépossession et de destruction par le multiracialisme, un processus assisté par la négation raciale. Les bénéficiaires de la négation raciale, ceux qui veulent « abolir la race blanche » selon les termes de Noel Ignatiev, un activiste marxiste-juif de longue date du marxisme et de la destruction des races européennes sous le couvert de la théorie marxiste selon laquelle les races sont des classes sociales plutôt que des populations biologiques sont les non-Européens. Leur objectif révolutionnaire marxiste classique est de renverser, déposséder, détruire, et remplacer la race européenne, et à la manière marxiste ils la définissent comme une classe sociale, socialement construite, plutôt que comme une race. Leur ennemi de classe, la « classe sociale » oppressive et privilégiée qu'ils veulent abolir, est la race « blanche ». Dans le contexte où ils utilisent le terme, « blanche » se réfère seulement aux Européens, et spécialement aux Nord-européens. Il y a toujours eu un programme ethno-racial derrière le marxisme, et les promoteurs marxistes-juifs de ce programme ont causé beaucoup de mal aux Européens durant le siècle précédent (12). Noel Ignatiev prouve que ce programme racial marxiste anti-nordique opère encore contre les intérêts de la race nord-européenne.
Depuis les années 60, le programme racial du marxisme, et de la « gauche » politique marxiste, est devenu plus évident. Au 19ème siècle et au début du 20ème, la « gauche » identifiait l'aristocratie et les « capitalistes bourgeois » comme les « ennemis de classe », les « exploiteurs » ou « oppresseurs » à renverser par la révolution et à détruire. A la fin du 20ème siècle elle cibla de plus en plus la race « blanche » comme l'ennemi, comme une élite raciale oppressive et mauvaise qui devait être renversée par tous les moyens nécessaires. En accord avec cette vision, la « gauche » a révélé un préjugé distinctement anti-nordique, la poussant à désigner la race nord-européenne pour la marginalisation, la dévaluation, la dépossession et l'extinction. A la fin des années 60 ce préjugé était devenu explicite, comme cela est illustré par le récit suivant concernant la faction militante du « Weatherman » des Etudiants pour une Société Démocratique :
Je me rappelle être allé à la dernière convention du Weatherman, et m'être assis dans une pièce où la question débattue était « Est-ce ou non un devoir pour tout bon révolutionnaire, de tuer tous les bébés blancs nouveaux-nés ». A ce moment cela semblait être une formulation appropriée d'un problème, une question logique. « Hé, regardez, bien que ce ne soit pas leur faute, ces enfants blancs vont grandir et faire partie d'un establishment racial international oppressif, et donc votre devoir est réellement de tuer les bébés blancs nouveaux-nés ». Je me rappelle qu'un type suggéra presque en s'excusant que cela lui semblait être en contradiction avec les grands buts humanitaires du mouvement, et qu'il s'était presque fait huer. (13)
A la fin des années 60, le marxisme culturel, centré sur la race plutôt que sur la classe, était explicite. Peut-être était-il trop explicite. Il rechercha donc une couverture en se déguisant selon le jargon marxiste classique de la lutte des classes, mais maintenant l'ennemi de classe était la race « blanche » ou nord-européenne, redéfinie comme une classe. En définissant la race nord-européenne, ou race « blanche », comme une classe sociale, les marxistes raciaux théorisaient que la race « blanche » était politiquement et socialement construite par sa position de classe sociale privilégiée et oppressive exploitant d'autres classes qui étaient socialement définies comme non-blanches. D'après cette théorie, la race « blanche » n'existait pas génétiquement ou biologiquement, mais seulement en tant que classe sociale dominante. Ceux qui étaient membres de la classe dominante étaient « blancs » alors que ceux qui n'en étaient pas membres étaient non-blancs. Selon cette théorie la race « blanche » existe seulement lorsqu'il y a une autre classe définie comme non-blanche qui est politiquement et socialement au-dessous de celle qui la domine et l'opprime. Toujours selon cette théorie, la race « blanche » commença à exister seulement quand les Européens entrèrent en contact avec les non-Européens durant la conquête et la colonisation des Amériques, et quand ils s'établirent comme classe politique et sociale dominante sur les natifs et autres non-Européens. Les Européens devinrent alors « blancs » et les non-Européens devinrent non-blancs. Le concept de race fut alors construit socialement et politiquement dans les Amériques afin de légitimer et d'assurer la position dominante de la classe sociale « blanche ».
Cette théorie est évidemment simpliste par sa réduction de la race à deux groupes : « blanc » et non-blanc. Les gens d'Asie de l'Est et d'Afrique Centrale se considèrent certainement comme des races différentes, ainsi que les natifs des Amériques. Mais les marxistes raciaux ne peuvent admettre aucune différenciation autre que celle entre « blancs » et « non-blancs ». Faire cela réfuterait leur définition de la race comme étant des classes socialement construites. De même, les races européennes ne changèrent pas biologiquement, génétiquement ou racialement dans les Amériques des 16ème et 17ème siècles quand et là où ils commencèrent pour la première fois à exister en étroit contact avec d'autres races. Les Américains-Européens des 17ème et 18ème siècles n'étaient pas biologiquement, génétiquement ou racialement différents de leurs ancêtres européens d'avant le 16ème siècle, ou de leurs contemporains européens. Les Américains-Irlandais du 20ème siècle n'étaient pas biologiquement, génétiquement ou racialement différents de leurs ancêtres irlandais d'avant le 16ème siècle, ou de leurs contemporains d'Irlande. La dialectique du marxisme racial prétend que la race « blanche » ne commença à exister qu'avec la colonisation des Amériques par les Européens durant les 16ème et 17ème siècles. Mais quelle race historique habitait l'Europe au Moyen Age et avant sinon la race « blanche », les ancêtres biologiques des gens aujourd'hui classés comme « blancs » ? Si c'était simplement une question de sémantique, les marxistes raciaux utilisant le terme « blanc » pour désigner la classe plutôt que la race, et utilisant d'autres termes pour la classification raciale, leur argumentation aurait quelque crédibilité. Mais ce qu'ils disent est que la race est socialement et politiquement construite, que cela commença dans les Amériques aux 16ème et 17ème siècles et se répandit ensuite en Europe et dans le monde.
Il est possible d'affirmer que la conscience des différences raciales humaines commença aux 16ème et 17ème siècles lorsque les différentes races entrèrent pour la première fois en contact. Mais les races différentes existaient, étaient réelles, longtemps avant d'entrer en contact les unes avec les autres. Le contact n'a pas créé les races. Il a créé la conscience et la connaissance des différentes races, et cela conduisit à l'étude et à la classification des races. Contrairement aux théories du marxisme racial, l'Amérique n'a pas créé la race, et ne l'a pas non plus donnée à l'Europe. L'Amérique a créé le multiracialisme, les différentes races vivant ensemble en étroit contact sur le même territoire, et dans la seconde moitié du 20ème siècle le multiracialisme se répandit en Europe, largement par les efforts des marxistes raciaux. Dans l'Amérique des siècles précédents, l'existence de classes sociales différentes basées sur la race restreignait et ralentissait le processus de mélange racial qui est la conséquence logique du multiracialisme. Mais dans la seconde moitié du 20ème siècle, largement par les efforts des marxistes raciaux, les barrières des classes sociales entre les races qui restreignaient le mélange furent attaquées et largement supprimées, rendant possible la réalisation des pleines conséquences du multiracialisme : la destruction raciale des Nord-Européens par le mélange. La négation de la race fait partie de ce processus de destruction raciale des Nord-Européens, détruisant conceptuellement la race nord-européenne afin de promouvoir sa destruction physique.
L'argument de la construction sociale et politique ne porte pas sur la classe sociale mais sur la race. Ce n'est pas de la science, mais de la politique de la politique raciale. Il ne provient pas d'une quelconque découverte scientifique, mais de la montée du multiracialisme et de la transformation raciale qu'il cause. Il n'est pas motivé ou guidé par des intérêts scientifiques, mais par les intérêts ethno-raciaux des groupes non-européens en expansion. Ceux qui utilisent cet argument ne détruisent pas et n'abolissent pas une classe sociale. Ils tentent d'abolir et de détruire la race nord-européenne.
La race est biologique, c'est une création de la génétique, de la biologie, de la nature, et de la vie. Elle est biologiquement construite à travers l'évolution par le même processus de divergence qui a créé toute la diversité des autres formes de vie. Le statut légal d'être un citoyen d'un pays multiracial est politiquement et socialement construit, une création des hommes et de leurs lois plutôt que de la biologie et de la nature. Cela n'est nulle part plus évident que dans une cérémonie de naturalisation multiraciale de masse au cours de laquelle un groupe racialement mélangé de candidats devient un groupe de citoyens naturalisés. Les candidats de différentes races peuvent changer de citoyenneté et de statut national par une simple procédure légale. Mais leur race est déterminée par leur héritage génétique venant de leurs ancêtres, et ne peut pas être changée.
8. L'argument selon lequel la variation individuelle à l'intérieur des populations est plus grande que la variation entre les moyennes des différentes populations, ou, dit d'une autre manière, que la plus grande variation humaine se produit entre les individus plutôt qu'entre les races. C'est une autre tentative pour minimiser l'importance et la valeur des différences raciales. Mais elle compare des extrêmes à des moyennes, et les traits qu'elle compare ne sont pas les traits qui sont racialement définitifs, pas les traits qui caractérisent une population géographique réelle, pas les traits par lesquels nous identifions les races et les distinguons l'une de l'autre.
9. L'argument par intimidation. C'est souvent la première méthode d'argumentation, dans l'espoir que l'adversaire reculera et battra en retraite devant un assaut verbal d'insultes, de menaces et d'accusations, et qu'une argumentation solide n'aura pas besoin d'être utilisée. Si cela échoue, et si l'argumentation solide échoue aussi, le négateur de la race revient souvent au premier comme argument de dernier recours.
10. L'argument par déformation. Fréquemment, les négateurs de la race déforment, falsifient ou présentent d'une manière fausse les arguments pour la réalité de la race, incluant des définitions raciales et des systèmes de classification, en partie pour créer un épouvantail qui peut être aisément réfuté, et en partie simplement pour créer de la confusion.
11. L'argument à sens unique. C'est le milieu dans lequel la négation raciale prospère et dans lequel elle a été promue, un milieu intellectuel orwellien de censure de facto où les arguments de négation raciale sont affirmés comme de simples faits et où aucun contre-argument, contestation ou réfutation ne sont permis. Etant donné que beaucoup, sinon tous, des arguments de négation raciale sont des faussetés qui pourraient être facilement réfutées, c'est probablement aussi le milieu requis pour la réussite de la négation de la race. L'article de journal plus haut est un exemple de cette technique, faisant de nombreuses affirmations contestables qui ne sont pas contestées parce que le reportage est complètement à sens unique.
12. L'argument de la supplique. La publicité du film mentionnée au début de cet article est un exemple de cela, l'affirmation que la réalité de la race doit être niée pour mettre fin au racisme. D'après cet argument, ceux qui croient en la réalité de la race perpétuent et encouragent le racisme et apportent une aide et un appui à ses pratiquants. Si on est opposé au racisme et si on veut y mettre fin, supplie cet argument, on doit nier la réalité de la race. Comme le remarque le spécialiste en médecine légale George Gill :
Ceux qui croient que le concept de race est valable ne discréditent
pas la notion de zone de contact Pourtant ceux qui ont la perspective
des zones de contact et qui pensent que les races ne sont pas
réelles tentent de discréditer les preuves de la
biologie du squelette. Pourquoi ce préjugé de la
part de la faction des « négateurs de la race »
? Ce préjugé semble venir surtout d'une motivation
sociopolitique et pas du tout de la science. Pour le temps présent
du moins, les « négateurs de la race » sont
aussi des « négateurs de la réalité
». Leur motivation (positive) est qu'ils en sont venus à
croire que le concept de race est socialement dangereux. En d'autres
mots, ils se sont convaincus eux-mêmes que la race encourage
le racisme. Par conséquent, ils ont favorisé le
programme politiquement correct selon lequel les races ne sont
pas réelles biologiquement, quelles que soient les preuves.
En conséquence, au début du 21ème siècle,
même si une majorité d'anthropologues biologistes
favorisent la réalité de la perspective de la race,
aucun manuel d'initiation à l'anthropologie physique ne
présente même cette perspective comme une possibilité.
Dans un cas aussi flagrant que cela, nous n'avons pas affaire
à de la science mais plutôt à une censure
flagrante, politiquement motivée (14).
13. L'argument préemptif ou par anticipation. Comme dans la citation de C. Loring Brace de l'article de journal plus haut, cette technique anticipe la réaction normale à l'argument et le devance en l'exposant en premier. Cette déclaration à l'avance est simplement supposée réfuter la réaction anticipée, bien qu'elle n'en parle pas vraiment et ne lui réponde pas réellement.
14. L'argument de l'autorité. Lorsqu'on tente de convaincre les gens que ce qu'ils voient de leurs propres yeux n'est pas réel, n'existe pas, et ne doit pas être cru, il est utile d'être soutenu par des experts et des autorités qui sont supposées avoir une connaissance supérieure du sujet. Le conte de Hans Christian Andersen « Les nouveaux habits de l'Empereur » est la description classique de cette technique, et la négation croissante de la réalité de la race, soutenue par des déclarations de scientifiques qui sont les experts et les autorités supposés, prouve qu'il n'avait pas exagéré. L'article de journal plus haut est un excellent exemple de cette technique. Pourtant la plus grande partie de la négation raciale faite par la communauté scientifique est intellectuellement malhonnête. Les scientifiques étudient encore la race au niveau génétique, simplement ils n'utilisent pas le mot « race », utilisant à la place le mot « population ». Les populations géographiques qu'ils étudient, qu'ils préfèrent sous une forme native et non-mélangée (c'est-à-dire racialement pure ou distincte), sont bien sûr des races, et ont été désignées comme des races pendant des siècles. Mais les scientifiques modernes n'étudient pas les phénotypes raciaux, les traits qui identifient et définissent la race, qui sont la race, et ne devraient donc pas être considérés comme des experts ou des autorités pour la typologie et l'identification des races. Leurs capacités et leurs connaissances dans ce domaine ne sont peut-être pas plus grandes que celles de l'individu moyen. Pourtant il n'y a pas besoin d'être un expert pour reconnaître la race par le phénotype. Tout le monde le fait, y compris les scientifiques qui disent que la race est trop ambiguë à reconnaître. Chacun de nous identifie racialement chaque personne que nous regardons, automatiquement, non intentionnellement et involontairement. C'est une chose naturelle, un simple fait de la nature. Nous avons tous l'importante capacité de reconnaître notre semblable et de la distinguer des autres groupes. Etant donné l'objet de cette capacité, elle est très précise pour distinguer notre propre groupe, ou race, des autres races, et moins précise pour distinguer les autres races les unes des autres. Nous connaissons avant tout notre propre groupe, notre propre race. C'est là que se trouve la soi-disant ambiguïté de l'identification raciale par le phénotype. Mais les gens des autres races sont capables de distinguer leur propre race des autres races avec une grande précision. Leur identification raciale n'est pas ambiguë pour eux, mais aussi distincte et réelle que notre race l'est pour nous.
Les scientifiques qui nient la précision de la typologie raciale l'utilisent pour identifier racialement les gens dans leur vie quotidienne, en-dehors de leur spécialité, autant que le reste d'entre nous. Alors pourquoi cette négation d'une chose qu'ils ont pratiquée toute leur vie ? Pourquoi cette affirmation qu'ils ne peuvent pas faire ce qu'ils font tout le temps ? La plupart des scientifiques qui nient aujourd'hui la réalité de la race ne faisaient pas une telle négation, et ne trouvaient aucune difficulté ou ambiguïté à l'identification raciale, vingt ou trente ans plus tôt. Alors qu'est-ce qui a changé ? Qu'est-ce qui s'est passé pour faire que les races scientifiquement reconnues d'il y a trente ans soient maintenant niées ? Quelle découverte ou addition à la connaissance a-t-elle prouvé que la race n'existe pas ? Quelle preuve était-elle et est-elle requise pour la réalité de la race, et pourquoi ? Quelle est la norme pour que la race soit réelle, par quelle définition de la race, et qui a établi cette norme et cette définition ? Il semble que les experts supposés de la race fassent beaucoup d'efforts pour ignorer la race, pour ne rien savoir de la race, pour nier la race, pour se faire croire à eux-mêmes que la race n'existe pas. Donc pourquoi cet effort concerté pour ne pas voir ce qui est évident pour tous, cet effort pour être racialement aveugles ? Pourquoi cet exercice d'obscurantisme scientifique ? Est-ce parce que l'identification raciale par le phénotype n'est pas un produit de l'étude scientifique et reste en-dehors de la science parce que les scientifiques n'en ont pas développé une version scientifique qui rende compte de toutes les complexités de la réalité raciale ? Est-ce parce que des décennies d'exhortations à pratiquer l'aveuglement racial, et à être littéralement racialement aveugle, ont produit leur effet désiré ? Est-ce parce que la multiracialisation des classes des écoles et des lycées et des facultés, ainsi que des médias et de la plupart des lieux de travail, a rendu la reconnaissance de la réalité de la race, et de la tension et de la division raciales qu'elle cause, socialement et politiquement intolérable ? Est-ce une conséquence logique de la révolution et de la transformation raciales de l'Occident qui a commencé dans les années 60, et du pouvoir, de l'influence, et du contrôle et de la domination de facto croissants des groupes ethno-raciaux non-nordiques en progrès ? Ou est-ce une question d'intérêt ethno-racial pour certains, comme c'était le cas pour Noel Ignatiev et pour Franz Boas avant lui, et d'intérêt politique pour d'autres, comme ce l'était pour les experts de l'empereur dans le conte d'Anderssen ? C'est probablement tout cela à la fois, certains facteurs plus que d'autres. Mais quelles que soient les négations de certains scientifiques de motivation, de compétence et d'intégrité douteuses, l'existence et la réalité de la race sont une création et un fait de la nature, pas de la science. La race existait bien avant la science. Son existence ne dépend pas de la science, mais continuera avec ou sans la science, que la science la définisse de manière exacte ou non. Ceux qui voient la réalité par eux-mêmes savent que les scientifiques qui nient la réalité de la race sont nus, en dépit de toutes leurs affirmations de scientifiques et d'experts en faveur du contraire.
CONCLUSION
Avant que la négation raciale devienne l'argument principal des adversaires de la préservation raciale des Nord-Européens, leur principal argument était l'affirmation selon laquelle la race nord-européenne était mélangée plutôt que « pure », et qu'à cause de ce mélange racial et de cette impureté raciale, elle n'était pas digne de préservation. Bien sûr, c'étaient les mêmes personnes qui recommandaient davantage de mélange racial et d'impureté raciale, en fait un mélange total et une impureté raciale totale, pour la race nord-européenne, pas les adversaires du mélange qui voulaient l'empêcher afin de préserver la race. Bien sûr, ils ne décrivaient pas non plus la nature ou l'étendue du mélange auquel ils se référaient, et ne fournissaient aucune définition ou aucune norme de ce qui constitue la « pureté » raciale et quel degré de celle-ci est requise pour justifier la préservation raciale. Leurs arguments pour l'impureté raciale étaient, et sont toujours, aussi ambigus que leurs arguments pour la négation de la race. La réponse à leur faire était, et est encore, la même que la réponse aux négateurs de la race qui prétendent que la race n'est pas réelle et n'existe pas, et qu'il n'y a donc rien à préserver. Je leur dis que j'aime ma race et que je veux la préserver telle qu'elle est, préserver ce qui est tel qu'il est, quoi que cela puisse être, et quel que soit le nom qu'ils lui donnent. Qu'ils l'appellent une race ou non, qu'ils la disent pure ou non, c'est la population et les phénotypes associés que beaucoup veulent préserver. Et ils savent de quoi je parle. A un niveau opératif, ils savent ce qu'est ma race aussi bien que je le sais, et elle est aussi réelle pour eux que pour moi. La différence est qu'ils veulent détruire ce que certains empiristes raciaux cherchent à préserver.
La négation raciale ne devrait pas être considérée comme un phénomène isolé. Elle est bien plus un produit de son temps. Elle ne peut être bien comprise que dans le contexte de la révolution raciale et du changement de pouvoir ethno-racial du dernier demi-siècle. Elle fait partie de l'offensive ethno-raciale contre la race nord-européenne, offensive qui détruit les peuples nord-européens racialement, génétiquement et biologiquement par le multiracialisme et le mélange racial. L'existence qu'elle nie est l'existence qu'elle aide à détruire. Comme nous en informe un récent article sur les études génétiques qui affirme la réalité de la race :
L'isolation géographique [c'est-à-dire la séparation raciale] et la reproduction interne (l'endogamie) dues à des forces sociales et/ou culturelles durant des périodes de temps étendues créent et augmentent la différenciation génétique [c'est-à-dire : créent et préservent les races], alors que la migration et l'inter-reproduction [c'est-à-dire : le multiracialisme et le mélange racial détruisent les races] (15).
La négation raciale est plus qu'une fausseté. Elle est plus que la somme des nombreuses faussetés, des faux arguments, utilisés pour la soutenir. Elle n'est pas une fin en soi mais un moyen pour une fin. Elle sert un objectif. Les négateurs de la race avancent un argument de mendiant en affirmant que la croyance en la race conduit à l'oppression et au génocide raciaux, et donc que le but de la négation raciale est de mettre fin à l'oppression raciale et à empêcher le génocide. En fait c'est le contraire qui est vrai. Le véritable but de la négation raciale n'est pas d'empêcher le génocide, mais d'empêcher la préservation raciale, spécifiquement la préservation des races européennes, et plus spécifiquement la race nord-européenne. Bref, le véritable but de la négation raciale n'est pas d'empêcher le génocide, mais d'aider à le causer. Le vrai motif et la vraie intention derrière la négation raciale est de promouvoir et d'assister la dépossession, le remplacement et la destruction de la race nord-européenne. La négation raciale, et chaque négateur de la race, est opposée à la préservation raciale et spécifiquement opposée à la préservation et à la continuation de l'existence de la race nord-européenne.
Ironiquement, la négation raciale est racialement motivée. Sa source et sa base d'appui se trouvent parmi les groupes ethno-raciaux non-européens. Ce sont eux qui cherchent la dépossession, le remplacement et la destruction de la race nord-européenne, même dans ses anciens foyers. Ce sont eux qui en bénéficient, eux qui sont les dépossesseurs et les remplaçants. L'existence des autres races n'est pas menacée par la négation raciale, et donc ils peuvent la promouvoir à partir d'une position d'immunité raciale. Ce sont les races européennes, et seulement les races européennes, et avant tout la race nord-européenne, qui sont menacées d'extinction, et dont la destruction est assistée par la négation raciale. La négation raciale est anti-nordique au plus extrême sens du terme, et opposée à l'existence même de la race nord-européenne. La négation raciale fait donc elle-même partie de la compétition raciale, et est un produit de la dynamique raciale, de la dialectique raciale, du multiculturalisme et du processus de destruction raciale qu'elle promeut. Elle peut apparaître comme un phénomène politique, avec des motifs politiques, mais elle est en fait un phénomène racial, avec des motifs raciaux des motifs beaucoup plus forts et plus profonds que la politique et n'est qu'un moyen pour servir des fins raciales. Elle sert de couverture à ces fins raciales. Elle dissimule le processus de destruction raciale derrière la couverture protectrice d'un faux dogme qui dit que la race en cours de destruction n'existe pas réellement, et donc que rien de réel n'est en cours de destruction, et qu'il n'y a pas de raison valable pour résister ou s'opposer à la destruction. Mais la race qui est en train d'être détruite, la population et les traits que les négateurs raciaux tentent de détruire ou aident à détruire, sont réels, et ce sont les miens. Ils sont les objets de mon amour et de ma dévotion, le centre de ma préoccupation. Ce sont tous les gens d'ascendance et de type nord-européens, des millions de gens, dont l'existence est niée, et qui sont en train d'être détruits sous le couvert de cette négation.
Richard McCulloch est l'auteur de The Racial Compact (1994),
The Nordish Quest (1989), Destiny of Angels (1986),
et The Ideal and Destiny (1982).
NOTES
1. Voir la présentation par Glayde Whitney de The Emperor's New Clothes: Biological Theories of Race at the Millennium par Joseph L. Graves, Jr., dans le numéro de l'hiver 2001 du Occidental Quarterly (Vol. I, N° 2). L'affirmation de Graves selon laquelle la race n'est pas réelle est explicitement motivée par son opinion que la croyance en la race est un obstacle à la « justice sociale » et à l'élimination du racisme.
2. L'essentiel de certains de ces échanges peut être consulté sur mon site web : http://www.racialcompact.com/reality_of_race.html
3. http://www.pbs.org/wgbh/nova/first/gill.html Le Dr. George W. Gill est un professeur d'anthropologie à l'Université du Wyoming. Il travaille aussi comme anthropologue légal pour les services judiciaires du Wyoming et pour le Laboratoire Criminel de l'Etat du Wyoming.
4. La méthodologie qui montre une différence génétique d'environ 1,6% entre l'humain et le chimpanzé montre une différence génétique de moins de 0,2% entre les races humaines. Feng-Chi Chen de l'Université Nationale de Tsing Hua à Taiwan et Wen-Hsiung Li de l'Université de Chicago (2001) estiment la différence génétique entre humain et chimpanzé à seulement 1,24%. Le Prof. Roy Britten de l'Institut de Technologie de Californie, en utilisant une méthodologie très différente, estime le chiffre à 5,4% (2002). Cela soulève une question évidente concernant la différence entre les races humaines si l'on utilisait cette même méthodologie. Serait-elle aussi plus de trois fois plus grande ?
5. Masatoshi Nei and Arun K. Roychoudhury, "Evolutionary
relationships of human populations on a global scale," Molecular
Biology and Evolution, sept. 1993 (pp. 927-943):
http://www.molbiolevol.org/cgi/gca?sendit=Get+All+Checked+Abstract%28s%29&gca=10%2F5%2F927.
Il est malheureux qu'aucune population scandinave (suédoise,
danoise ou norvégienne), slave ou arabe n'ait été
incluse dans cette étude, et que les groupes anglais, allemand
et italien n'aient pas été divisés en régions.
Il est possible qu'un groupe est-anglais soit génétiquement
plus proche d'un groupe danois ou allemand du nord-ouest que d'un
groupe ouest-anglais.
6. Ces études génétiques sont basées sur l'ADN nucléaire, les gènes qui sont en fait responsables des variations raciales. D'autres études de l'ADN mitochondriale (mtADN), comme celle de Jody Hey et Eugene Harris (1999), montrent une différence entre les races humaines qui est environ 4% de la différence entre humains et chimpanzés.
7. http://genomebiology.com/2002/3/7/comment/2007/. Neil Risch et autres, « Categorization of humans in biomedical research: Genes, race and disease », Genome Biology, 2002, 3(7) : comment 2007.1-2007.12. Publié le 1er juillet 2002. Cet article est un excellent résumé scientifique des preuves apportées par les études génétiques concernant la réalité de la race.
8. http://anthro.palomar.edu/vary/vary_2.htm. Il s'agit d'une page de travaux dirigés sur le site web du Département de Sciences Comportementales du Palomar College, San Marcos, Californie, réalisée par Dennis O'Neil. Le Palomar College est une université publique de deux ans avec environ 30.000 étudiants. Les vues exprimées sur cette page sont probablement représentatives de ce que la plupart des étudiants en science sociale se voient actuellement enseigner concernant la race. Cela est le résultat probablement prévisible et attendu de l'éducation multiraciale, avec ses effets paralysants sur la recherche raciale, où la vérité raciale est la première victime.
9. John R. Baker, Race, Oxford University Press, p. 100.
10. Risch et autres, "Categorization of humans in biomedical research."
11. Robert Boyd, "Scientists: Idea of Race is Only Skin Deep," The Miami Herald (13 oct. 1996), p. 14A.
12. Pour un examen détaillé de ce sujet, voir Kevin MacDonald, The Culture of Critique: An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movements, Praeger, 1998.
13. Doug McAdam, dans « Picking Up the Pieces », part 5 de la série de PBS : Making Sense of the Sixties, télévisé le 23 janvier 1991. On peut supposer que dans le contexte de ce débat marxiste racial à la convention du Weatherman, il était entendu que le terme « blanc » n'incluait pas les Juifs.
14. http://www.pbs.org/wgbh/nova/first/gill.html.
15. Risch et autres, "Categorization of humans in biomedical research."