La conquête normande de l'Angleterre, commencée en
1066, inclut un changement apparemment mineur parmi tous ceux
qui ont longtemps semblé plus importants. Avant 1066, à
l'époque anglo-saxonne, le monarque régnait sous
le titre de « Roi des Anglais ». Quand les Normands
s'emparèrent du trône, le titre fut changé
en « Roi d'Angleterre », et est resté ainsi
depuis lors. Cette distinction nominale indiquait un changement
dans ce qui était regardé comme plus important :
le peuple et sa vie, ou le pays.
Le Roi des Anglais était roi d'un peuple particulier, et
à travers eux il était roi du pays qu'ils tenaient
ou possédaient, ce qui changeait souvent avec le temps.
Par contre, le Roi d'Angleterre était roi d'un pays ou
territoire particulier, et souverain du peuple qui l'habitait
quel qu'il soit. L'orientation du premier était naturelle,
organique, biologique ou raciale. Le peuple passait en premier,
le territoire particulier était secondaire. Le peuple était
plus important que le pays. La perspective du second était
artificielle, basée sur des concepts légalistes
de propriété. Le pays était plus important
que le peuple.
Le mot « roi » vient du vieux mot teutonique kyning
[prononcer « kouning », NDT], chef de la famille ou
de la parentèle, qui incarne les siens en lui, dont le
but est de les servir et de les défendre, eux et leurs
intérêts. Le roi et le peuple ne faisaient qu'un.
Partout où ils allaient, quel que soit le pays ou le territoire
où ils passaient, ils restaient le même peuple, défini
par sa parenté ou ascendance raciale commune, et leur roi
allait avec eux, les conduisant, ne restant pas derrière
dans les pays qu'ils quittaient. Avec l'instauration de la féodalité,
représentée par le système normand, le lien
entre le roi et le peuple devint secondaire par rapport au lien
des deux avec le pays. Le roi et le pays ne faisaient qu'un. Les
gens appartenaient au pays, en faisaient partie et allaient avec
lui. Ils ne s'identifiaient plus à leur roi, ou les uns
aux autres, d'après leur ascendance commune, mais d'après
le pays où ils étaient nés et où ils
vivaient. C'était un changement ou une différence
majeurs dans leur manière de se penser et de penser leur
relation entre eux.
Durant les derniers siècles, un changement similaire s'est
produit dans la définition de la nation et de la nationalité.
Nation vient du mot latin natio, « race »,
et la nationalité fut longtemps définie par les
déterminants naturels de la race, de la parenté
ou ascendance biologique commune. Dans une grande partie du monde
occidental moderne, ce concept naturel de la nationalité
a été remplacé par un concept légaliste
abstrait et artificiel. Il n'est plus basé sur quelque
chose de physiquement réel, mais sur un statut légal.
Le peuple particulier ou la race particulière ne sont plus
considérés comme importants. Ce concept permet à
des personnes d'origine et de type raciaux largement divergents
d'être membres de la même nation, avec pour résultat
que la nationalité perd toute signification ou identification
raciale.
De tels changements dans l'identification et la définition
ont un effet important sur la manière dont les gens pensent,
sur la façon dont ils se voient et se définissent,
ainsi que ceux qui les entourent. Les définitions naturelles
aident les gens à penser naturellement, en termes naturels
de race, d'évolution, de Vie et de Création. Les
définitions artificielles coupent le lien avec la nature
et le remplacent par des concepts légalistes, politiques,
religieux ou idéologiques. La manière dont les gens
pensent, leurs concepts de l'identité, déterminent
leurs loyautés et leurs allégeances, ce qu'ils considèrent
comme important. S'ils pensent naturellement, en termes de race
et de vie, l'objet de leurs loyautés sera aussi naturel.
S'ils pensent artificiellement, leurs loyautés iront à
des concepts artificiels.
La question de savoir à qui donner notre loyauté
et notre allégeance détermine le cours de notre
vie. C'est vrai pour un individu comme pour une race. Le patriotisme
est la loyauté envers nos paters ou pères,
la race de nos ancêtres, pas envers le pays ou le territoire.
C'est la loyauté envers notre lignée ancestrale,
le continuum racial-génétique des générations
dont nous sommes venus et dont nous faisons partie, envers la
chair et le sang et les gènes, envers l'essence de la Vie,
envers ce qui nous a faits et nous a donné la vie, pas
envers des concepts artificiels et des légalismes abstraits
coupés de la nature.
Pendant le dernier demi-siècle, la race nordique (nord-européenne)
s'est vue enseigner par les éléments dominants de
sa culture à réprimer ses loyautés naturelles.
Les figures dirigeantes de toutes sortes présidents
et princes, et tous ceux ayant des postes d'autorité et
d'influence dans toute la culture ont dénoncé
le racisme, la loyauté naturelle envers sa race, comme
étant incohérente avec la loyauté envers
son pays, créant un schisme entre la race et le pays. Les
figures dirigeantes nordiques des générations précédentes,
incluant les pères fondateurs américains, ne reconnaissaient
pas un tel schisme, mais des temps changeants, et des dirigeants
changeants, n'ont pas été bienveillants envers les
loyautés naturelles. Les loyautés artificielles,
qu'elles soient politiques, économiques ou religieuses,
ont joui de la priorité sur les loyautés naturelles,
et la loyauté envers l'idéologie artificielle ou
religion du nihilisme racial a joui de la priorité sur
toutes les autres.
En général, les pays non-nordiques ont été
relativement immunisés contre la répression des
loyautés naturelles affectant l'Occident. En particulier,
les nations dynamiques de l'Asie du nord-est le Japon, la
Chine et la Corée ont conservé leurs loyautés
et leur identité raciales. En-dehors de l'Occident, pays
et race ne font toujours qu'un.
Un pays est un foyer racial, un territoire qui appartient à
une race ou un peuple particulier à l'exclusion de tous
les autres. Un territoire qui n'appartient pas à une race,
mais à toutes, n'appartient à aucune. Il vaut mieux
avoir un petit territoire qui appartient exclusivement à
une race, c'est-à-dire un vrai pays, que partager un plus
grand territoire avec d'autres races. C'est particulièrement
vrai pour la race nordique, qui a besoin de l'indépendance
raciale, de la séparation et de l'isolation reproductive
comme conditions nécessaires pour continuer sa vie et son
existence raciales. La race est plus importante que n'importe
quelle quantité de terre ou de territoire, dont la valeur
est seulement dérivée de la race qui l'habite et
qui la soutient.
Si besoin est, le territoire doit être abandonné
pour obtenir ou restaurer la séparation et l'indépendance
raciales nordiques. Le salut racial nordique, sauvant la race
nordique de la diminution et de la destruction par le mélange
et le remplacement raciaux, empêchant la perte de davantage
de richesse raciale-génétique nordique, est une
question de vie ou de mort, une question d'intérêt
absolu qui dépasse en importance toutes les autres considérations.
Sous l'éthique et les valeurs du racialisme qui juge
toutes les questions selon le standard de ce qui est le meilleur
pour la race les gens et leur vie, la race et la continuation
de son existence, sont plus importants que le pays. La richesse
naturelle des gens, leur richesse raciale-génétique,
est de plus grande valeur que n'importe quelle quantité
de terre ou de possessions matérielles.
Le rêve préservationniste racial est le rêve
de la race nordique regagnant les conditions de séparation
et d'indépendance raciales dont elle a besoin pour pouvoir
continuer et contrôler sa propre vie. C'est le rêve
de la restauration de l'autodétermination et de la liberté
nordiques, de la libération raciale et du salut racial
nordiques. C'est le rêve de la survie et de la préservation
nordiques. C'est le rêve de la vie nordique.
En conflit complet avec le rêve préservationniste
racial du salut racial par l'indépendance et la séparation,
il y a le rêve nihiliste racial d'une société
racialement mélangée. Le rêve nihiliste racial
refuse à la race nordique le droit à la liberté,
à la séparation, à l'indépendance
et à l'autodétermination raciales. Il lui refuse
les conditions dont elle a besoin pour sa préservation
raciale et son salut racial, pour la continuation de sa vie. En
niant son droit aux conditions de séparation et d'indépendance
dont elle a besoin pour sa vie, il nie son droit à la vie
raciale.
Le rêve nihiliste racial est un rêve de diminution,
de non-existence et d'extinction raciales nordiques par le mélange
racial et le remplacement. C'est un rêve de mort raciale
nordique. C'est le meurtre de la race nordique. La différence
entre le rêve préservationniste racial et le rêve
nihiliste racial n'est rien d'autre qu'une question de survie
ou d'extinction nordiques, de vie ou de mort nordiques. Pour ceux
qui aiment et qui valorisent la race nordique, le rêve nihiliste
racial est le cauchemar absolu.
Le rêve préservationniste racial est une déclaration
d'indépendance et d'autodétermination raciales nordiques,
une proclamation de séparation et de libération
raciales nordiques. C'est une affirmation par la race nordique
de son droit à la vie raciale et aux conditions dont elle
a besoin pour vivre. C'est une revendication par la race nordique
de ses droits et intérêts les plus vitaux et les
plus essentiels à sa vie, qui, sous la Règle d'Or
Raciale, devraient être reconnus par toutes les races pour
toutes les races. C'est un commandement des gardiens de la race
nordique à tous ceux qui voudraient nier son droit à
la vie, à l'indépendance, à la liberté
et à la séparation, disant : « Laissez partir
mon peuple. Laissez-le être libre, séparé
et indépendant dans son propre pays, avec le contrôle
de sa propre existence et de son propre destin. Laissez vivre
mon peuple ». C'est un cri pour la liberté nordique.
C'est un cri pour la vie nordique. C'est un appel pour sauver
la race nordique.
Le salut racial est la condition préalable au salut individuel.
Le salut ou la continuation de la vie de l'individu par sa reproduction
ne peuvent pas réussir sur le long terme si sa race n'est
pas sauvée et ne continue pas à exister. Il n'y
a pas de salut individuel sans salut racial. L'individu fait partie
du tout, est relié au reste de sa race. Les traits génétiques,
les caractéristiques et l'essence vitale de l'individu
ne peuvent continuer que si sa race continue, ne peuvent exister
que comme partie de sa race, ne peuvent pas exister en étant
séparés d'elle. Ceux qui s'opposent au salut de
leur race s'opposent à leur propre salut, au salut à
long terme de leurs traits génétiques et de leur
essence vitale.
Le salut racial ou la préservation raciale nordiques, la
réalisation du rêve préservationniste racial,
requièrent un environnement, un pays ou un territoire racial
protégé qui soit exclusivement le sien, des foyers
raciaux qui soient habités seulement par des Européens
nordiques, à l'exclusion de toutes les autres races. Thomas
Jefferson affirma la Règle d'Or Raciale lorsqu'il déclara
que toutes les races devaient être libres. Il reconnut les
droits et intérêts raciaux vitaux lorsqu'il ajouta
que des races différentes ne pouvaient pas vivre dans le
même gouvernement (pays ou nation). La race nordique ne
peut pas vivre dans le même pays que d'autres races, seulement
mourir.
Le choix nordique est entre la séparation raciale ou le
mélange racial, entre la vie raciale ou la mort raciale.
Le mélange provoque la mort raciale nordique, la séparation
l'empêche. Tout ce qui soutient l'un s'oppose à l'autre.
Tout ce qui résiste à l'un assiste l'autre. Tout
ce qui s'oppose à la séparation raciale soutient
le mélange racial s'oppose à la vie raciale
nordique et soutient la mort raciale nordique. Tout ce qui s'oppose
au mélange racial et à la mort raciale nordique
soutient la séparation raciale et le droit nordique à
la vie raciale. Une grande partie de la race nordique a déjà
été perdue a subi le sort de la mort et de
la négation raciales à cause du mélange
qui a déjà eu lieu. Pour la race nordique, il n'y
a pas d'autre alternative que la liberté raciale ou la
mort raciale. Sans liberté raciale, la race nordique cessera
d'exister. Elle ne peut pas vivre sans elle.
La séparation et l'indépendance territoriales vis-à-vis
des autres races est la condition requise pour le salut nordique
ou la continuation de la vie nordique. La séparation sociale
ou ségrégation ne réussit que partiellement
et temporairement, et viole les droits de toutes les races impliquées
à la vraie indépendance en accord avec la Règle
d'Or Raciale. Seule la séparation et l'indépendance
territoriale chaque race ayant son propre pays et gouvernement
souverains, totalement séparée politiquement, économiquement
et culturellement de toutes les autres, avec le contrôle
et la détermination exclusifs de son propre avenir et de
son propre destin est cohérente avec la Règle
d'Or Raciale et le droit à la vie raciale, et c'est la
seule condition dans laquelle la race nordique peut continuer
à vivre.
La séparation raciale est la solution non-destructrice
ou préservationniste au dilemme racial causé par
le multiracialisme. C'est l'alternative offerte par la Charte
Raciale, basée sur le principe des droits raciaux et du
concept éthique des « Nombreuses Demeures ».
Son but est l'indépendance et la préservation des
différentes branches de l'humanité dans leur forme
entière et non-diminuée. Ce but requiert la séparation,
soit par la partition d'un pays multiracial en pays monoraciaux
séparés, soit là où cela n'est
pas juste, désirable ou praticable par le rapatriement
des populations racialement incompatibles dans leurs propres foyers
raciaux.
En Europe, où les anciens foyers raciaux ont été
violés par l'immigration récente (après 1957)
d'éléments raciaux incompatibles, il ne serait pas
juste de partitionner ces foyers entre leurs anciennes populations
indigènes et les immigrants récents, et il ne serait
pas non plus désirable ou praticable d'installer des éléments
aussi incompatibles dans l'étroite proximité de
régions aussi restreintes géographiquement. Par
conséquent, la solution juste, morale, désirable
et pratique serait le rapatriement des immigrants récents
dans leurs propres foyers raciaux ou pays d'origine raciale, ou
si cela n'est pas praticable leur transfert dans un
nouveau foyer racial trouvé pour eux en-dehors d'Europe.
De même, puisque les populations indigènes de l'Europe
ne sont pas toutes génétiquement compatibles (par
exemple, un mélange généralisé des
populations d'Europe du Nord et du Sud nordiques et méditerranoïdes
diminuerait ou annulerait les traits génétiques
de l'élément nordique), la préservation de
la diversité raciale de l'Europe requiert l'isolation reproductive
des populations génétiquement incompatibles par
séparation géographique. Le mouvement actuel vers
une plus grande unité européenne économique
et politique ne devrait pas être autorisé à
devenir un véhicule pour la violation des droits raciaux
et la destruction raciale en favorisant la migration d'éléments
non-nordiques dans les foyers nordiques, mais devrait adopter
des politiques qui favorisent la sécurité et la
préservation raciales.
En Amérique du Nord (les Etats-Unis et le Canada), où
l'espace géographique est relativement abondant, et où
des groupes raciaux incompatibles sont présents en grands
nombres depuis de nombreuses générations, rendant
le rapatriement ou le déplacement de tout groupe majeur
à la fois injuste et impraticable, l'abondance d'espace
permet à la partition d'être une solution pratique
aussi bien que juste et morale. La race nordique qui
a fondé les Etats-Unis et le Canada, qui a historiquement
formé la grande majorité de leurs populations, et
qui forme encore une majorité déclinante a
un enjeu plus grand que celui de tout autre groupe racial en Amérique
du Nord. Plus de 30% de la population nordique mondiale (et plus
de 40% de la population nordique centrale [= « nordiques
purs », NDT]) vit actuellement aux Etats-Unis et au Canada.
En comparaison, moins de 5% de la population congoïde mondiale
vit en Amérique du Nord, et historiquement celle-ci n'a
probablement jamais contenu plus de 5% de la population amérindienne
totale avant l'immigration à grande échelle d'Indiens
et de métis mexicains ou latino-américains après
1965.
Une partition raciale de la nation multiraciale existante en nations
monoraciales séparées et pleinement indépendantes,
dans lesquelles les frontières nationales et raciales-génétiques
coïncideraient, pourrait prendre plusieurs formes. L'auteur
pense que sa proposition [Lien vers Partition raciale pour préservation
raciale] est honnête, et cohérente avec la Règle
d'Or Raciale. Elle reconnaît le rôle primordial de
la race nordique dans le développement de l'Amérique
du Nord, et la position de ce grand continent comme un foyer racial
nordique primordial ou majeur, alors qu'il est seulement un foyer
secondaire ou mineur pour les autres races. Mais elle reconnaît
aussi les droits légitimes des races non-nordiques à
posséder un territoire suffisant pour créer des
pays pleinement indépendants, convenables et viables sur
le continent nord-américain.
L'indépendance, la séparation et la libération
raciales signifient qu'une race n'est pas la propriété
des autres. Elle n'est pas possédée ou contrôlée
par les autres mais seulement par elle-même. Elle n'existe
pas pour servir les buts ou les intérêts d'autres
races, seulement ses propres buts et intérêts. Elle
n'est pas un moyen pour les fins des autres, mais une fin en soi.
Elle a son propre destin évolutionnaire à suivre,
sa propre destination à atteindre, sa propre raison d'être,
son propre rêve de Création à réaliser.
Le rêve préservationniste racial voit la race nordique
comme une partie essentielle du plan de la Création, une
partie qui doit être préservée et protégée
par une séparation des races. Sans une partition raciale,
elle sera détruite et une forme de vie qui ajoute quelque
chose d'unique, de précieux et de merveilleux au contenu
et à la substance de la Création et de la Vie sera
perdue. Si elle est perdue, il est probable qu'avec elle plus
de choses seront perdues que n'en rêvent actuellement la
science ou la philosophie. Rien ne serait perdu pour la Création
avec une partition raciale, mais sans une partition raciale la
race nordique serait perdue. Avec la disparition de la race nordique,
une importante partie de la Création serait perdue. L'univers
ne serait pas rendu meilleur par une telle perte, mais bien pire
en ayant été très diminué. Pour empêcher
cette perte, nous devons séparer les races comme l'évolution
divergente l'a fait avant que nous n'interférions et commencions
à défaire et décréer sa vaste uvre
de création. Nous devons séparer les races afin
que la race nordique, et la diversité raciale humaine dans
son ensemble, puissent continuer à exister, afin que les
différentes branches de l'humanité créées
par l'évolution divergente puissent continuer leur voyage
évolutionnaire, et que la vie ascendante puisse continuer
à s'élever.