L'ALTERNATIVE PRESERVATIONNISTE


Richard McCulloch


La conquête normande de l'Angleterre, commencée en 1066, inclut un changement apparemment mineur parmi tous ceux qui ont longtemps semblé plus importants. Avant 1066, à l'époque anglo-saxonne, le monarque régnait sous le titre de « Roi des Anglais ». Quand les Normands s'emparèrent du trône, le titre fut changé en « Roi d'Angleterre », et est resté ainsi depuis lors. Cette distinction nominale indiquait un changement dans ce qui était regardé comme plus important : le peuple et sa vie, ou le pays.


Le Roi des Anglais était roi d'un peuple particulier, et à travers eux il était roi du pays qu'ils tenaient ou possédaient, ce qui changeait souvent avec le temps. Par contre, le Roi d'Angleterre était roi d'un pays ou territoire particulier, et souverain du peuple qui l'habitait quel qu'il soit. L'orientation du premier était naturelle, organique, biologique ou raciale. Le peuple passait en premier, le territoire particulier était secondaire. Le peuple était plus important que le pays. La perspective du second était artificielle, basée sur des concepts légalistes de propriété. Le pays était plus important que le peuple.


Le mot « roi » vient du vieux mot teutonique kyning [prononcer « kouning », NDT], chef de la famille ou de la parentèle, qui incarne les siens en lui, dont le but est de les servir et de les défendre, eux et leurs intérêts. Le roi et le peuple ne faisaient qu'un. Partout où ils allaient, quel que soit le pays ou le territoire où ils passaient, ils restaient le même peuple, défini par sa parenté ou ascendance raciale commune, et leur roi allait avec eux, les conduisant, ne restant pas derrière dans les pays qu'ils quittaient. Avec l'instauration de la féodalité, représentée par le système normand, le lien entre le roi et le peuple devint secondaire par rapport au lien des deux avec le pays. Le roi et le pays ne faisaient qu'un. Les gens appartenaient au pays, en faisaient partie et allaient avec lui. Ils ne s'identifiaient plus à leur roi, ou les uns aux autres, d'après leur ascendance commune, mais d'après le pays où ils étaient nés et où ils vivaient. C'était un changement ou une différence majeurs dans leur manière de se penser et de penser leur relation entre eux.


Durant les derniers siècles, un changement similaire s'est produit dans la définition de la nation et de la nationalité. Nation vient du mot latin natio, « race », et la nationalité fut longtemps définie par les déterminants naturels de la race, de la parenté ou ascendance biologique commune. Dans une grande partie du monde occidental moderne, ce concept naturel de la nationalité a été remplacé par un concept légaliste abstrait et artificiel. Il n'est plus basé sur quelque chose de physiquement réel, mais sur un statut légal. Le peuple particulier ou la race particulière ne sont plus considérés comme importants. Ce concept permet à des personnes d'origine et de type raciaux largement divergents d'être membres de la même nation, avec pour résultat que la nationalité perd toute signification ou identification raciale.


De tels changements dans l'identification et la définition ont un effet important sur la manière dont les gens pensent, sur la façon dont ils se voient et se définissent, ainsi que ceux qui les entourent. Les définitions naturelles aident les gens à penser naturellement, en termes naturels de race, d'évolution, de Vie et de Création. Les définitions artificielles coupent le lien avec la nature et le remplacent par des concepts légalistes, politiques, religieux ou idéologiques. La manière dont les gens pensent, leurs concepts de l'identité, déterminent leurs loyautés et leurs allégeances, ce qu'ils considèrent comme important. S'ils pensent naturellement, en termes de race et de vie, l'objet de leurs loyautés sera aussi naturel. S'ils pensent artificiellement, leurs loyautés iront à des concepts artificiels.


La question de savoir à qui donner notre loyauté et notre allégeance détermine le cours de notre vie. C'est vrai pour un individu comme pour une race. Le patriotisme est la loyauté envers nos paters ou pères, la race de nos ancêtres, pas envers le pays ou le territoire. C'est la loyauté envers notre lignée ancestrale, le continuum racial-génétique des générations dont nous sommes venus et dont nous faisons partie, envers la chair et le sang et les gènes, envers l'essence de la Vie, envers ce qui nous a faits et nous a donné la vie, pas envers des concepts artificiels et des légalismes abstraits coupés de la nature.


Pendant le dernier demi-siècle, la race nordique (nord-européenne) s'est vue enseigner par les éléments dominants de sa culture à réprimer ses loyautés naturelles. Les figures dirigeantes de toutes sortes ­ présidents et princes, et tous ceux ayant des postes d'autorité et d'influence dans toute la culture ­ ont dénoncé le racisme, la loyauté naturelle envers sa race, comme étant incohérente avec la loyauté envers son pays, créant un schisme entre la race et le pays. Les figures dirigeantes nordiques des générations précédentes, incluant les pères fondateurs américains, ne reconnaissaient pas un tel schisme, mais des temps changeants, et des dirigeants changeants, n'ont pas été bienveillants envers les loyautés naturelles. Les loyautés artificielles, qu'elles soient politiques, économiques ou religieuses, ont joui de la priorité sur les loyautés naturelles, et la loyauté envers l'idéologie artificielle ou religion du nihilisme racial a joui de la priorité sur toutes les autres.


En général, les pays non-nordiques ont été relativement immunisés contre la répression des loyautés naturelles affectant l'Occident. En particulier, les nations dynamiques de l'Asie du nord-est ­ le Japon, la Chine et la Corée ­ ont conservé leurs loyautés et leur identité raciales. En-dehors de l'Occident, pays et race ne font toujours qu'un.


Un pays est un foyer racial, un territoire qui appartient à une race ou un peuple particulier à l'exclusion de tous les autres. Un territoire qui n'appartient pas à une race, mais à toutes, n'appartient à aucune. Il vaut mieux avoir un petit territoire qui appartient exclusivement à une race, c'est-à-dire un vrai pays, que partager un plus grand territoire avec d'autres races. C'est particulièrement vrai pour la race nordique, qui a besoin de l'indépendance raciale, de la séparation et de l'isolation reproductive comme conditions nécessaires pour continuer sa vie et son existence raciales. La race est plus importante que n'importe quelle quantité de terre ou de territoire, dont la valeur est seulement dérivée de la race qui l'habite et qui la soutient.


Si besoin est, le territoire doit être abandonné pour obtenir ou restaurer la séparation et l'indépendance raciales nordiques. Le salut racial nordique, sauvant la race nordique de la diminution et de la destruction par le mélange et le remplacement raciaux, empêchant la perte de davantage de richesse raciale-génétique nordique, est une question de vie ou de mort, une question d'intérêt absolu qui dépasse en importance toutes les autres considérations. Sous l'éthique et les valeurs du racialisme ­ qui juge toutes les questions selon le standard de ce qui est le meilleur pour la race ­ les gens et leur vie, la race et la continuation de son existence, sont plus importants que le pays. La richesse naturelle des gens, leur richesse raciale-génétique, est de plus grande valeur que n'importe quelle quantité de terre ou de possessions matérielles.


Le rêve préservationniste racial est le rêve de la race nordique regagnant les conditions de séparation et d'indépendance raciales dont elle a besoin pour pouvoir continuer et contrôler sa propre vie. C'est le rêve de la restauration de l'autodétermination et de la liberté nordiques, de la libération raciale et du salut racial nordiques. C'est le rêve de la survie et de la préservation nordiques. C'est le rêve de la vie nordique.


En conflit complet avec le rêve préservationniste racial du salut racial par l'indépendance et la séparation, il y a le rêve nihiliste racial d'une société racialement mélangée. Le rêve nihiliste racial refuse à la race nordique le droit à la liberté, à la séparation, à l'indépendance et à l'autodétermination raciales. Il lui refuse les conditions dont elle a besoin pour sa préservation raciale et son salut racial, pour la continuation de sa vie. En niant son droit aux conditions de séparation et d'indépendance dont elle a besoin pour sa vie, il nie son droit à la vie raciale.


Le rêve nihiliste racial est un rêve de diminution, de non-existence et d'extinction raciales nordiques par le mélange racial et le remplacement. C'est un rêve de mort raciale nordique. C'est le meurtre de la race nordique. La différence entre le rêve préservationniste racial et le rêve nihiliste racial n'est rien d'autre qu'une question de survie ou d'extinction nordiques, de vie ou de mort nordiques. Pour ceux qui aiment et qui valorisent la race nordique, le rêve nihiliste racial est le cauchemar absolu.


Le rêve préservationniste racial est une déclaration d'indépendance et d'autodétermination raciales nordiques, une proclamation de séparation et de libération raciales nordiques. C'est une affirmation par la race nordique de son droit à la vie raciale et aux conditions dont elle a besoin pour vivre. C'est une revendication par la race nordique de ses droits et intérêts les plus vitaux et les plus essentiels à sa vie, qui, sous la Règle d'Or Raciale, devraient être reconnus par toutes les races pour toutes les races. C'est un commandement des gardiens de la race nordique à tous ceux qui voudraient nier son droit à la vie, à l'indépendance, à la liberté et à la séparation, disant : « Laissez partir mon peuple. Laissez-le être libre, séparé et indépendant dans son propre pays, avec le contrôle de sa propre existence et de son propre destin. Laissez vivre mon peuple ». C'est un cri pour la liberté nordique. C'est un cri pour la vie nordique. C'est un appel pour sauver la race nordique.


Le salut racial est la condition préalable au salut individuel. Le salut ou la continuation de la vie de l'individu par sa reproduction ne peuvent pas réussir sur le long terme si sa race n'est pas sauvée et ne continue pas à exister. Il n'y a pas de salut individuel sans salut racial. L'individu fait partie du tout, est relié au reste de sa race. Les traits génétiques, les caractéristiques et l'essence vitale de l'individu ne peuvent continuer que si sa race continue, ne peuvent exister que comme partie de sa race, ne peuvent pas exister en étant séparés d'elle. Ceux qui s'opposent au salut de leur race s'opposent à leur propre salut, au salut à long terme de leurs traits génétiques et de leur essence vitale.


Le salut racial ou la préservation raciale nordiques, la réalisation du rêve préservationniste racial, requièrent un environnement, un pays ou un territoire racial protégé qui soit exclusivement le sien, des foyers raciaux qui soient habités seulement par des Européens nordiques, à l'exclusion de toutes les autres races. Thomas Jefferson affirma la Règle d'Or Raciale lorsqu'il déclara que toutes les races devaient être libres. Il reconnut les droits et intérêts raciaux vitaux lorsqu'il ajouta que des races différentes ne pouvaient pas vivre dans le même gouvernement (pays ou nation). La race nordique ne peut pas vivre dans le même pays que d'autres races, seulement mourir.


Le choix nordique est entre la séparation raciale ou le mélange racial, entre la vie raciale ou la mort raciale. Le mélange provoque la mort raciale nordique, la séparation l'empêche. Tout ce qui soutient l'un s'oppose à l'autre. Tout ce qui résiste à l'un assiste l'autre. Tout ce qui s'oppose à la séparation raciale soutient le mélange racial ­ s'oppose à la vie raciale nordique et soutient la mort raciale nordique. Tout ce qui s'oppose au mélange racial et à la mort raciale nordique soutient la séparation raciale et le droit nordique à la vie raciale. Une grande partie de la race nordique a déjà été perdue ­ a subi le sort de la mort et de la négation raciales ­ à cause du mélange qui a déjà eu lieu. Pour la race nordique, il n'y a pas d'autre alternative que la liberté raciale ou la mort raciale. Sans liberté raciale, la race nordique cessera d'exister. Elle ne peut pas vivre sans elle.


La séparation et l'indépendance territoriales vis-à-vis des autres races est la condition requise pour le salut nordique ou la continuation de la vie nordique. La séparation sociale ou ségrégation ne réussit que partiellement et temporairement, et viole les droits de toutes les races impliquées à la vraie indépendance en accord avec la Règle d'Or Raciale. Seule la séparation et l'indépendance territoriale ­ chaque race ayant son propre pays et gouvernement souverains, totalement séparée politiquement, économiquement et culturellement de toutes les autres, avec le contrôle et la détermination exclusifs de son propre avenir et de son propre destin ­ est cohérente avec la Règle d'Or Raciale et le droit à la vie raciale, et c'est la seule condition dans laquelle la race nordique peut continuer à vivre.


La séparation raciale est la solution non-destructrice ou préservationniste au dilemme racial causé par le multiracialisme. C'est l'alternative offerte par la Charte Raciale, basée sur le principe des droits raciaux et du concept éthique des « Nombreuses Demeures ». Son but est l'indépendance et la préservation des différentes branches de l'humanité dans leur forme entière et non-diminuée. Ce but requiert la séparation, soit par la partition d'un pays multiracial en pays monoraciaux séparés, soit ­ là où cela n'est pas juste, désirable ou praticable ­ par le rapatriement des populations racialement incompatibles dans leurs propres foyers raciaux.


En Europe, où les anciens foyers raciaux ont été violés par l'immigration récente (après 1957) d'éléments raciaux incompatibles, il ne serait pas juste de partitionner ces foyers entre leurs anciennes populations indigènes et les immigrants récents, et il ne serait pas non plus désirable ou praticable d'installer des éléments aussi incompatibles dans l'étroite proximité de régions aussi restreintes géographiquement. Par conséquent, la solution juste, morale, désirable et pratique serait le rapatriement des immigrants récents dans leurs propres foyers raciaux ou pays d'origine raciale, ou ­ si cela n'est pas praticable ­ leur transfert dans un nouveau foyer racial trouvé pour eux en-dehors d'Europe.


De même, puisque les populations indigènes de l'Europe ne sont pas toutes génétiquement compatibles (par exemple, un mélange généralisé des populations d'Europe du Nord et du Sud ­ nordiques et méditerranoïdes ­ diminuerait ou annulerait les traits génétiques de l'élément nordique), la préservation de la diversité raciale de l'Europe requiert l'isolation reproductive des populations génétiquement incompatibles par séparation géographique. Le mouvement actuel vers une plus grande unité européenne économique et politique ne devrait pas être autorisé à devenir un véhicule pour la violation des droits raciaux et la destruction raciale en favorisant la migration d'éléments non-nordiques dans les foyers nordiques, mais devrait adopter des politiques qui favorisent la sécurité et la préservation raciales.


En Amérique du Nord (les Etats-Unis et le Canada), où l'espace géographique est relativement abondant, et où des groupes raciaux incompatibles sont présents en grands nombres depuis de nombreuses générations, rendant le rapatriement ou le déplacement de tout groupe majeur à la fois injuste et impraticable, l'abondance d'espace permet à la partition d'être une solution pratique ­ aussi bien que juste et morale. La race nordique ­ qui a fondé les Etats-Unis et le Canada, qui a historiquement formé la grande majorité de leurs populations, et qui forme encore une majorité déclinante ­ a un enjeu plus grand que celui de tout autre groupe racial en Amérique du Nord. Plus de 30% de la population nordique mondiale (et plus de 40% de la population nordique centrale [= « nordiques purs », NDT]) vit actuellement aux Etats-Unis et au Canada. En comparaison, moins de 5% de la population congoïde mondiale vit en Amérique du Nord, et historiquement celle-ci n'a probablement jamais contenu plus de 5% de la population amérindienne totale avant l'immigration à grande échelle d'Indiens et de métis mexicains ou latino-américains après 1965.


Une partition raciale de la nation multiraciale existante en nations monoraciales séparées et pleinement indépendantes, dans lesquelles les frontières nationales et raciales-génétiques coïncideraient, pourrait prendre plusieurs formes. L'auteur pense que sa proposition [Lien vers Partition raciale pour préservation raciale] est honnête, et cohérente avec la Règle d'Or Raciale. Elle reconnaît le rôle primordial de la race nordique dans le développement de l'Amérique du Nord, et la position de ce grand continent comme un foyer racial nordique primordial ou majeur, alors qu'il est seulement un foyer secondaire ou mineur pour les autres races. Mais elle reconnaît aussi les droits légitimes des races non-nordiques à posséder un territoire suffisant pour créer des pays pleinement indépendants, convenables et viables sur le continent nord-américain.


L'indépendance, la séparation et la libération raciales signifient qu'une race n'est pas la propriété des autres. Elle n'est pas possédée ou contrôlée par les autres mais seulement par elle-même. Elle n'existe pas pour servir les buts ou les intérêts d'autres races, seulement ses propres buts et intérêts. Elle n'est pas un moyen pour les fins des autres, mais une fin en soi. Elle a son propre destin évolutionnaire à suivre, sa propre destination à atteindre, sa propre raison d'être, son propre rêve de Création à réaliser.


Le rêve préservationniste racial voit la race nordique comme une partie essentielle du plan de la Création, une partie qui doit être préservée et protégée par une séparation des races. Sans une partition raciale, elle sera détruite et une forme de vie qui ajoute quelque chose d'unique, de précieux et de merveilleux au contenu et à la substance de la Création et de la Vie sera perdue. Si elle est perdue, il est probable qu'avec elle plus de choses seront perdues que n'en rêvent actuellement la science ou la philosophie. Rien ne serait perdu pour la Création avec une partition raciale, mais sans une partition raciale la race nordique serait perdue. Avec la disparition de la race nordique, une importante partie de la Création serait perdue. L'univers ne serait pas rendu meilleur par une telle perte, mais bien pire en ayant été très diminué. Pour empêcher cette perte, nous devons séparer les races comme l'évolution divergente l'a fait avant que nous n'interférions et commencions à défaire et décréer sa vaste uvre de création. Nous devons séparer les races afin que la race nordique, et la diversité raciale humaine dans son ensemble, puissent continuer à exister, afin que les différentes branches de l'humanité créées par l'évolution divergente puissent continuer leur voyage évolutionnaire, et que la vie ascendante puisse continuer à s'élever.

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